Derrière ces portes
désormais closes
ou jadis
j'avais mes entrées.
Depuis la douleur qu'on sème
est restée plantée
comme une aiguille dans nos veines.
Toujours à l'affiche
le temps rabat sa vieille rengaine!
et volontiers s'abat quand les âmes s'enraillent.
Dans les carnets de balles perdues
des trous invitent le vide
piquer de rouille nos lentes dégaines.
Étoile fuyante!
faut pas prier les voyantes!
Rose flétrie!
On t'a raccroché la Lune au nez!
Quels sortes
d'effets hors de causes
sévissent
entre ces cloisons tant inspirées.
Quel odieux dilemme qui S M
le charme écorché
à qui chaque jour suffit sa peine!
Toujours â l'affiche
Le temps rabat sa vieille rengaine
et volontiers s'abat quand les âmes s'enraillent.
Dans des carnets de balles perdues
des trous invitent le vide
piquer de rouille nos lentes dégaines.
Étoile fuyante!
Faut pas prier les voyantes!
Rose flétrie!
On t'a raccroché la lune au nez!
Peu m'importe
si j'ai oublié les doses
dans le calice
sur l'autel particulier.
Par ici flotte une odeur de blasphème
depuis que nous fûmes chassés
par les anges du jardin d'Eden!
Toujours à l'affiche!
Le temps rabat sa vielle rengaine
et volontiers s'abat quand les âmes
s'enraillent.
Dans des carnets de balles perdues
des trous invitent le vide
piquer de rouille nos lentes dégaines!
Étoile fuyante!
Faut pas prier les voyantes!
Rose flétrie!
On t'a raccroché la lune au nez!
Se colportent
â dos de névroses
les caprices
qui tiennent les reines sabotées!
Couronné d'hypocrites diadèmes
6 miss ménopausées
qui fabriquent des poupées à la chaîne!
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