des marques de morsures
et dans l'air encore se capture
le parfum de la créature.
après le second souffle
de mes ébats d'elle.
Une coupe franche
à une autre nuit blanche
Puisque rien ne dure!(bis)
Impossible d'échapper à l'usure
car elle nous tient par l'encolure
les mains sales d'attentes en tortures
comme l'émoi du souvenir suppure.
Y'a des limites à ce que l'on camoufle
l'éternel qui bat de l'aile.
À l'extrémité d'une vieille branche
l'ombre s'éprend du silence.
Puisque rien ne dure!(bis)
Quand plus rien ne nous rassure
et que ce qu'on récolte frôle l'imposture
sonne l'heure de la désinvolture
à tout vents saignent nos petites coupures.
Ils n'aient d'avis qui ne s'essoufflent
autant que de désirs qui n'ensorcellent.
Aux secrets qui restent étanches
à jamais endormis entre 4 planches.
Puisque rien ne dure!(bis)
Des nos communes vomissures
jusqu'à la plus profonde des blessure
qui n'a jamais connue d'éclaboussure
bien que les nerfs aient éprouvé la rupture.
Peu à peu l'autre côté emmitoufle
y'à t'il un ciel pour les infidèles?
Défile la vie par tranches
et le compteur tourne une dernière manche.
Puisque rien ne dure!(bis)
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