Les mortels avaient tous été trouvés
par ce qu'ils cherchaient.
L'absence du moindre soupçon d'espoir.
Il se demandait du haut de sa place,
Après le sang de quoi baigner l'éternité?
Maintenant que le plus clair est passé,
le temps ne voit plus rien mourir.
Dieu du chaos à tu le monde.
Calme sidéral hors gravité
sur l'astre mort
où rien du néant
ne se trahit plus.
La dérive n'est pas une impasse,
le vent stellaire y a pris ses quartiers.
Au beau milieu de rien s'éparpiller,
et courtiser la matière noire.
Désolés trous et crevasses,
qui jouissent sous lles diluviennes acidités.
Il contemple le magma agoniser
l'inspiration n'a plus rien à courir.
Dieu du chaos a tu le monde.
Calme sidéral hors gravité
sur l'astre mort
où rien du néant
ne se trahit plus.
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