samedi 14 septembre 2013

QU'EN EST T'IL DE CES JOURS QU'ON A CHOISIT DE PERDRE



À s'enivrer de ses contraires
happés par la mouvance du problème,
désastres sous lesquels
tourne notre sphère.

Les nuages en paquets fuyants
laissaient à la lune quelques
lumineux effets de surprise.
S'ancrait alors l'incrée...
fruit défendu de l'union
de l'âme perdue
et l'improbable inconnu.

Qu'en est t'il de ces jours
qu'on a choisit de perdre!
A t'on fait le lien avec l'erreur,
l'infinité sombre
qu'il serait bon d'appeler Dieu!

En des bouquets d'agonies
s'envasent les satisfactions
qui embaument la particule
meurtrière.

Bien que personne 
n'arrive jamais au terme
de ses vœux,
les audaces athées s'obstinent.

Tel le ciel
endeuillé du rayon,
l'ivrogne ordonne à l'eau
d'aller se changer!
errements fiévreux.
Que l'onde altérée 
atteigne son but,
une pute!



Qu'en est t'il de ces jours
qu'on a choisit de perdre!
A t'on fait le lien avec l'erreur,
l'infinité sombre
qu'il serait bon d'appeler Dieu!

0 commentaires:

Enregistrer un commentaire