dimanche 29 septembre 2013

I WANNA STOP TIME!



As everything must pass

I see my memory
walking away 
in the distance 
it's sadness gone 
back to the quiet.

Not yet!
Not yet!
Not yet!
NOT YET!

I wanna stop time!
I wanna stop time!
I wanna stop time!
I wanna stop time!

Will I see you once again?
So I can resolve myself
to the end.
Will I see you once again?
So I can resolve myself
to the end.

I wanna stop time!
I wanna stop time!
I wanna stop time!
I wanna stop time!

TROMPÉS & TROMPEURS



Les faits nocifs 

sont ma came!
Petite nécessité 
que je suis
pour ma cause!

Comme le défendu 
déroule sa possible voie
et je me méprise de devoir
et me plaît à penser,
le danger ne mérite t'il pas
quelques faveurs?

Un soir de débauche 
alors que je nourrissais le mensonge 
j'ai croisé l'insensée 
qui se livrait à ses erreurs.

Exubérance,
pourquoi t'ai je adopté?

Entre la servitude spirituelle
et mes libertés  artificielles
je me suis d'abord vomi
puis digéré 
et aux racines rassurantes
j'ai préféré me risquer aux fruits.

Je venais de muer!

LE CYBORG DE SÉVICE



Venus de marbre,
la machine ne doit
rien vous dicter.

Affecté à satisfaire 
vos moindres caprices
je suis le cyborg de sevice,
un micro onde
un toasteur 
la voix de votre mari
qui téléphone
et en simultané un sex toy
votre traducteur 
au moment ou s'emmêlent 
les pinceaux
qui peut vous dire
"take a pill"
" changez mes piles"
and PAINT PAIN!

Numériques arbres
la machine croit
aux pixels retaillés.

Identifier les sphères 
aux procédures sans vices
je suis le cyborg de sevice,
un ballon sonde
un climatiseur 
votre meilleur tsunami 
qui ne mouille personne
un non-stop boy
votre dealer
au moment où s'emmêlent 
les pinceaux
qui peut vous dire
"take a pill"
"changer mes piles"
and PAINT PAIN!

La machine ne doit
rien vous dicter.

TIRED OF TIDES!



For certain 
pain is a wish
just to make
them feel alive.
I assure you 
no chance is left
for dought!
No chance is left
for dought!

Until I get tired of tides
high or low
high or low 

Where are you
mysterious leather godess
as a mistress or a whore
wrecked on the rocks
maybe a bitch on the shore.

Saw the Captain 
as a broken dish
a fallen slate
about to dive.
I assure you
no chance is left
for dought!
No chance is left
for dought!

Until I get tired of tides
high or low 
high or low

Is there
any delirious deep blue darkness 

Is there
any delirious deep blue darkness 
to implose a little more
when life undocks
for another I'm sure.

THE OLD COUPLE



There's a vertigo staring at it's hight!
A lost mobile is laughing at it's crime
and a clock misbehaving with time!

Signs no longer give any directions.
Seasons don't what to change
these days.

Truth is having a love affair with lies!
Water is gone instead of changing into vine and the moon is no longer u're
best partner at night.

Could desertion just reconquer war!
Hell is married and faithfull to his bells
and sex has baught the city and a TV
show "Copulation streets".

A porn star believes "gode" is french
while the mystery has discovered himself.
The little toy can't wait to grow into
a weapon!

Fiction has murdered reality and the clone held the gun while limits decided
never to stop, that's why the kick missed the ass.

Games have betrayed the rules as much as justice fucks the laws.
Flesh is out for diner with jaws at the
next table ignorance has invited knowledge.

Fears have become needs!

FAUX PAS SOUS LES STEAMERS



Au pont le plus inférieur 

dans le meilleur du contre-jour,
des ombres tridimensionnelles
aux accents de Belfast, Liverpool 
ou Glasgow.

Nègres de houille 
que les flots malmènent 
et qui ne voient que les ports
aux accents de Boston, Singapour 
ou Valparaiso.

Faux pas, sous les steamers!

Par plus de 20 nœuds à l'heure
pour que Satan l'armateur on Time
Square avant la clôture des cours.
Faut gaver l'ogre affamé perpétuel.

Pas d'embrouilles 
vilebrequins qui se démènent 
aux points de rupture des gars du nord.
Infidèles à la régulière 
mais pas la chaudière 
catin de l'arbre d'hélice.

Faux pas, sous les steamers!

I'M RUNNING AFTER ME!



Qu'il est dur 
d'être heureux
quand on se cherche.

Après le passage d'une vie 
que reste t'il d'éternité?
De l'amant, peine.
Du compagnon sincère 
bien que maladroit.
Du père absent 
mais qui aime.
Cet homme au cerveau 
encombré de locataires
pas tous à jour de loyer.

I'm running after me!
I'm running after me!

Tout au long
de ces mois
je prie et je péche.

Germe t'il quelque chose
quand on se plante?
De sèves vaines.
Du dévoué lierre
bien qu'envahissant parfois.
Au repères absents
qui ne sait si il sème.
Cet homme le cerveau
aux pôles stellaires
équilibrés d'opposés.

I'm running after me!
I'm running after me!

LA RAISON DU CONTRAT



En chemin,
d'où, je ne sais plus très bien
et pourquoi encore moins.
J'ne fais confiance 
qu'à mon bourrin.
À ce train j'oublierais presque
d'en descendre.

Tenu à la raison du contrat,
je ne vais pas en revenir
de mourir sans surprise.

Y'a l'estime
et ceux qu'on tiens en respect.
Y'a d'la profondeur chez le bouffon
et des bas-fonds 
où sont connu tout ceux 
qui les fréquentent.

Tenu à la raison du contrat,
je ne vais pas en revenir
de mourir sans surprise.

Dans une rare nuance,
pour qui, j'ne sais plus très bien
et puis j'ai oublié le nom
et perdu l'adresse.
Faudrait pas qu'on sache que j'ai
la tremblote.

Tenu à la raison du contrat,
j'ne vais pas en revenir
de mourir sans surprise.

Y'a un crime
après lequel on reconnaît 
si on a des amis.
Y'a une prime
qui manque pour certains qui
se disent honorables.

Tenu à la raison du contrat,
j'ne vais pas en revenir
de mourir sans surprise.

L'IMPUISSANT PROGRÈS



Rien ne change
pas plus que
rien ne dure!
Placée aux arrêts 
ma fière allure.

Entreprise mise en cage
prise la main au saccage.
Enfants de la poudre
damnés impossibles à absoudre. 

Poussières ami-ange
aux poisons qui s'épurent.
Aucuns regrets
sous la torture.

S'efforcent  les passages,
s'étirent d'interminables barrages,
entre les plaies à recoudre
et l'impossible à résoudre.

Un rien étrange,
le sens de l'usure 
et son méthodique procès
aux acides parjures.

Les sorts ragent
car jetés sous emballage 
pour s'attirer les foudres
des allégés du neurones à dissoudre.

Que rien ne dérange,
le disciple d' Épicure 
au bras de son infirmière injectée 
debout sur des aiguilles impures.

Arrivé en nage
de perdre pied en abattages.
Noyés du dé à coudre
persuadés qu'on va tous nous moudre.

Curieux mélange 
aux semblables figures,
des standards du progrès 
le code barre sur mesure.

DE VENTS & D'AIRS HIER!



Bien que distants,
bien qu'immobiles
les sons se précisaient.

Assis devant
une fenêtre d'espace temps
j'assistais à ces souffles
conspirateurs 
autant libres
que prisonniers.

Rumeurs vraies ou fausses
qui caressent!
Hurlements stridents
aux gifles à fendre
les " cas rapaces"!

Se brisent australes
les ampleurs songeuses
des furies à venir
que l'on baptise
dans la hantise
de pertes et fracas.

Fier à la proue du désastre 
les reproches balayés
l'aurore tout juste accouchée 
si claire de tout!
Cris,
chants
sifflements
mécaniques haletantes
ou en branle.
Le temps s'entrechoque
comme les embarcations
qui clapotent 
aux pieds des pontons.

La voix du large
m'appelle depuis toujours 
de vents & d'airs hier!

COUGAR À VOUS



Immatures matures
si faiblement voilées.
Amorces usées 
qui jouent encore aux bombes.
Faisant semblant de penser
elles se disent:
"y-a t'il quelque chose 
de plus grisant
que de se faire sauter!"

Que gardent t'elles
des cavaliers de leur âge.
Où est partit l'âge d'or
des orages.
Séniles étincelles 
éclairs d'hier.
Incontinentes libidos
qui puent la pisse
et se consolent à l'euro.
Pauvres uros,
qu'elles aiment
faire débourser.

Chant du cygne hormonal
qui s'acharne 
sur de la jeune carne.
En tenues léopard 
dans les temples
du vacarme,
elles troquent
des cours d'histoires
ultra débridées
et en échange 
réclament un peu 
de désir pour jeunes fanées.

Avant de perdre les pétales,
mieux on vous étire 
et plus on vous tire!
Figés vos derniers traits,
de votre jeunesse,
à ce jour
il ne reste 
que la mention
"peinture fraîche!"

DEVRAIS-JE MOINS BIEN DORMIR?



Saleté de réacteur!
Tu m'fais encore
le coup de la panne.
Sur le pont d'envol
la tuyère se fait un film.

What!
Don't u like my mission
and all the innocent things
I focus on
in my gun sight.

O! Mon bel outil d'agression 
sans bémol 
qui hors basse altitude 
souffle une cible 
et son école.

Maman tête chercheuse!
Papa lobby!
J'suis trop haut
pour voir du sang
sur ma copie.

Moi c'est "Red Devil"
et mon binôme 
"Black Dog"!
Devrais-je moins bien dormir
que le cauchemar 
livré par mes soins 
à la réalité.

Pas le temps pour les questions 
en postcombustion.
Les systèmes d'armes 
sans état d'âme.
C'est que du monde en trop!

What!
Don't u like my mission
and all the innocent things
I focus on 
in my gun sight.

ÉPRIS AU MILIEU



Tombé d'un moulin
qui me matait d'un sale air
que je n'ai pas encaissé!

Va savoir!
Comment j'ai perdu connaissance.
Juste un autre jour sans, 
pâle!
Certainement un mauvais tours.

Le souffle perdu.
Emmerdes bourrasques,
ma boussole a le masque
et boues tabous m'échouent

Au bout du fil
quoi qu'il en "soie",
figure étendue 
une toile mal dépeinte
et je suis épris au milieu!

Elle a régné lunatique
à l'angle des galeries,
poignées d' amnésies 
sans identités capillaires.

Le fil des jours l'indiffère 
me dit t'elle 
en me tendant 
un bouquet d'ulcères.

Dans une fonderie de nerfs
nage l'anxieux.

Au bout du fil
quoi qu'il en "soie",
figure étendue
une toile mal dépeinte 
et je suis épris au milieu!

LE CHARGÉ DE RIRE & LA TUERIE DU VICE



Pas de temps!
Mords animal de cirque
dans le clownesque 
de ta verve!

À 2 pas!
Niques la clique
de ceux 
qui te baisent!

Ici sont lâchés
les cybers zombies 
et les néo-luddites 
filles et fils
des septiques pères
de l'incertitude.

Rien ne doit ternir
les petites morts!
Faites contre l'ennui
place au
chargé de rire!

Foire aux instincts
où orgiaques chauvines
s'échangent le libertin.

Nacrées ventouses 
à vue de nez
qui mettent le feu aux poudres.
Aphrodites en furies
tueries du vice!

SIMILI VIVANT!



Gène sans référence 
à la destination non répertoriée 
avorton d'une pute à 100 fils
engendré par le néant 
qui prie les dieux d'abandon
et qui se demande 
comment l'action 
peut-elle ne pas
nous précipiter!

Tel un divertissement 
non programmé
aux réalités altérées 
sur 100 chaînes 
qui téléportent 
les crétins & les cons!
Je suis un capitaine sans cap,
légionnaire, juste pour dire 
qu'il l'a été.
Moine Shaolin de la cité
formé au temple
durant un WE
de 10 années.

A l'image d'un éclat sans le coup
j'carbure aux suppléments d'excès 
avec ma dégaine 
de simili vivant
je suis l'espèce qui tue 
son créateur!

Pionnier de faux horizons
qui voudrait s'inventer un but
au-delà du péril à 2 balles
où le plus misérable 
chat de gouttières
se la raconte 
comme le tigre du Bengale!

dimanche 22 septembre 2013

L'AMANT SONGE



L'un rampe sous l'une rousse.

L'autre fait planer ses elles.
Bien moins amassé d'or
que d'ivresses.
Au tournant des tourments,
que des audaces aux absences 
de trajectoires.

Il n'est nul pardon
à la mesure de mes torts
quand l'amant songe
où s'illustrent ses mensonges.

L'étalon caché aux adultérines cartouches,
qui n'envisagent que celles qui ensorcèlent,
traversants à corps perdus le décor 
des tigresses.
Attenter au tentant
que de fugaces fièvres encensent 
de désirs noirs.

Il n'est nul pardon
à la mesure de mes torts
quand l'amant songe
où s'illustrent ses mensonges.

M'ABUSER DE TOUT MA MUSE!



Quand viendra le temps
de déserter mon ombre,
que trop d'audaces clandestines 
auront données au désir
la saveur du crime.

Quand trop retrempée 
cette âme de précision
par le roc déviée
frôlera le mythe de l'éternité 
me laissant 
usé de mon temps 
par l'ennui des jours
et le bref éclair des nuits,
telle une entorse au tracé.

M'abuser de tout ma muse!

Quand mes contours errants
aux mouvantes formes sombres
épousés sous une lune libertine
quitteront le navire
emportés par les abîmes.

Quand trop dissipées
brumes en suspension 
aux volutes altérées 
par le fracas d'extrêmes marées 
au soleil couchant 
en tout tolérant 
au bout de l'ennui des jours
à l'heure où cette vie s'enfuit
pour y être repensée.

M'abuser de tout ma muse!

APPÉTITS DE NUITS



Étendu sous l'arbre mort
plongé dans un ciel de marbre
irrigué de branches veineuses noires
entre lesquelles des trouées
reflétaient de par en part en part
mes fêlures hagardes
qui criaient famine.

Remontés à la surface
engloutis souvenirs
rappeler au présent 
qu'ils ne sombrent
que si on se réinvente.

Que n'a t'on pas digéré 
comme il se devait
les souffrances
qui persistent à aiguiser 
aux confins de l'outrance 
nos indécents  appétits de nuit.

Aux envoûtés qui projètent l'essor 
contaminé en d'étranges palabres
bien plus qu'il n'est indiqué certains soirs
à en asservir  les âmes à coloniser
emmurés d' artifices pour seul rempart
où monte la garde
de la grouillante vermine.

Révoltés qui ne s'effacent 
qu'en tutoyant le pire
aux terribles accents
d'architectes de décombres 
aux résidentiels charniers
pour mines insolentes.

Que n'a t'on pas digéré 
comme il se devait
les souffrances
qui persistent à aiguiser
aux confins de l'outrance 
nos indécents appétits de nuit.

DUR À FUIR



Dans toutes les fuites
il trop de maux qui restent.
Dans tout les ailleurs 
on demeure à petit feu.

Malgré les bagages défaits
s'oublient nos doubles fonds.
De l'enfant qui gagne l'homme 
à la sueur des épreuves 
comme l'instinct qui se cherche
une morale.

Sous les rampes de la raison
s'effondrent les marches
de la vertu!
Rivages qui s'infinissent
et recommencent
tenant en haleine
ceux qui s'en remettant aux cieux
ce sont trompés d'étoile.

Passants qui vous méprenez 
pour des durs à fuir,
acceptez-vous de vous reconnaître?

Courez pour un soupir!
Courez pour votre hymne!
Courez après l'illusion
d'une fausse éternité!

Emportés en repoussant 
les limites du loin.
Cherchez les vergers
où supposer se révéler!

Passants qui vous méprenez 
pour des durs à fuir,
acceptez-vous de vous reconnaître?

samedi 14 septembre 2013

SOIFFARD SUR LA QUARANTIÈME



Le secret des forges
dont je détiens les clés 
n'a vu aucun
vers où se tourner!

Au contrôle des flots,
je réponds par le déluge.
Guerre qui rend 
bestial l'animal
m'a laissée 
entre le chaos et le néant!

Qui torture?
Qui libère ?
Dieu ou Satan?
Depuis je me suis brûlé l'esprit 
et je n'ai jamais vraiment su!

Je séduis l'invisible 
en cet hivers cinglant 
depuis plus de quarante fois.

Qui libère?
Qui torture?
Dieu ou Satan?
Depuis je me suis brûlé l'esprit 
et je n'ai jamais vraiment su!

Listen, Listen!!!
Je suis l'Indien des plaines
soiffard sur la quarantième.
Je chasse le bidon
qui revient au galop
me faire la peau.

QU'EN EST T'IL DE CES JOURS QU'ON A CHOISIT DE PERDRE



À s'enivrer de ses contraires
happés par la mouvance du problème,
désastres sous lesquels
tourne notre sphère.

Les nuages en paquets fuyants
laissaient à la lune quelques
lumineux effets de surprise.
S'ancrait alors l'incrée...
fruit défendu de l'union
de l'âme perdue
et l'improbable inconnu.

Qu'en est t'il de ces jours
qu'on a choisit de perdre!
A t'on fait le lien avec l'erreur,
l'infinité sombre
qu'il serait bon d'appeler Dieu!

En des bouquets d'agonies
s'envasent les satisfactions
qui embaument la particule
meurtrière.

Bien que personne 
n'arrive jamais au terme
de ses vœux,
les audaces athées s'obstinent.

Tel le ciel
endeuillé du rayon,
l'ivrogne ordonne à l'eau
d'aller se changer!
errements fiévreux.
Que l'onde altérée 
atteigne son but,
une pute!



Qu'en est t'il de ces jours
qu'on a choisit de perdre!
A t'on fait le lien avec l'erreur,
l'infinité sombre
qu'il serait bon d'appeler Dieu!

RAIL EXPRESS (les mémoires du 10traits)



100 destinations d'où
je fixais la source d'inspiration,
mon billet sans escales
roulé sur mesure
pour capturer 
la brise narine!

Juste à côté 
des damnés 
liserés poudreux
de mes cartes 
sur table.

Disciplinées mes lignes..
comme une gare de trillage
perdue dans la plaine Sibérienne
aux destinations
qu'il me faudra toutes prendre.

D'un trait,
non stop jusqu'à 
de lointains lendemains
où je me distraits
de culs 
d'affaires
et de mystères
sans toucher terre!

jeudi 12 septembre 2013

DON'T U EVER FORGET WE'RE CONNECTED!



I don't care
about the distance.
I don't have
any idea of the time.

Even if we don't hear
the screams of our extremes!
Don't u ever forget
we are connected!

I don't mind
your silence.
I just can't explain
the signs.

It gets to me loud and clear
like dreaming of our sex scenes!
Don't u ever forget 
we are connected!

I'm not blind
about the low frequence.
I can feel the pain
as well as the excess all around.


U're my fantasy and my fear 
fixing me on the cover of a magazine!
Don't u ever forget
we are connected!

It may scare
like a strange evidence.
I've tried in vain
to inhale another line.

U seem to be so fucking near
my breath on u're neck 
when you face the wall.
Don't u ever forget
we are connected!

LES MORSURES DE L'OMBRE



Ne me pliant jamais
à aucunes règles,
à l'exception peut-être 
de celles qui épousent
le contact du désir.

Avantageuses voilures
gonflées d'envies
à en déchirer le satin.

Oublieux rites
arrachés par poignées
aux crinières diaboliques.

Mordus de Lilith
venus pointer la canine
que l'on plante aux ombres
en ces repères à Sappho.

Hauts talons
qui bravent le sol
maculé de sperme
au devant de ceux
qui s'avouent 20 culs
au pied de la déesse 
vénérienne.

Orphelin 
de la renaissance du jour,
rien à espérer du lendemain.
On avait prédit 
que vos déchéances 
uniraient les ténèbres 
à vos sexuelles puanteurs.

LE LARGE & L'AMER



Mauvaises herbes
des bords de route
qui regardez passer
les calvaires,
au rythme 
d'une juste douleur.

Que les coutumes
aux lointaines écumes
sortent des usages
sur d'incertains rivages.

À mon souhait le plus cher,
il me sied de sortir au large
plus que de prendre l'amer!
Resteras-tu la trainée
dans le sillage
de mon vice?

Aux idées vagues
tanguent mes envies
de caps qui me narguent
longeant mes allégories 
de récifs sonores
aux profondeurs trompeuses
recouvertes d'une moire blafarde.

À mon souhait le plus cher,
il me sied de sortir au large
plus que de prendre l'amer!
Resteras-tu la trainée 
dans le sillage 
de mon vice?

PERDU D'AVANCE



Tourner dans tout les sens,
à la dérive questions
et mauvais sommeils.
J'ai crevé la roue du Karma,
impossible â changer
et perdu le cric 
de l'élévation de conscience.

En combinaison de basses fréquences,
j'évolue hors connexion 
quand bien même la haine veille.
En réseau les combats
aux règles fraudées 
par les dieux du fric
magiciens des sentences.

Des arènes monteront
les clameurs et les enchères 
quand le glaive vengeur
dans toute sa traîtrise 
sortira de ta chair 
ta face vers la pointe!

GPS qui indiquent les contre sens,
aux pires heures de circulation 
pour que les freins s'enraillent.
Quand la balle perdue frappera
de sa trajectoire intentionnée 
sur un point rouge anecdotique,
geste qualifié d'auto défense.

Le matador exige sa récompense
les attributs du vaincu en exhibition 
et des louanges à l'orgueil.
L'ange sans zèle tituba
sous le jubilatoire coup bas porté
à jamais gravé au machiavélique
panthéon du perdu d'avance.

Des arènes monteront
les clameurs et les enchères 
quand le glaive vengeur
dans toute sa traîtrise 
sortira de ta chair
ta face vers la pointe!

lundi 9 septembre 2013

LES FAUCHEUSES TENDANCES



À l'ombre démos!
Par méprise définitive 
soumise en lumière.

Nerfs pilés!
Tragédies primitives
de l'aube guerrière.

Le dénommé Ego!
La voie exclusive 
aux issues sanguinaires.

Les faucheuses tendances
vous espèrent!

Incrustées!
Pierres précieuses intrusives
aux facettes meurtrières.

Estoy loco!
Moi la main mise
sur ma folie Andalouse passagère. 

Les faucheuses tendances
vous espèrent!

SAME DAY LATER LIGHT"



We used to be rays
at red sunsets!
Green day after day
as lanterns or comets!
All gone back 
to a black shiny reflect!

Same day,
Later light!
Insane ways,
at first sight!

Big lies of betrayed ways 
in vibes of regrets!
Overseas castaways
of offshore prophets!
Unfaithfull acts
nothing can protect!

Same day,
later light!
Insane ways,
at first sight!

All of our runaways
Trapped in fish nets!
On the breaking news today
our worst aspects!
A massive Attack 
on unknown alphabets!

Same day,
later light!
Insane ways,
at first sight!

Red
Green&Black!
Red
Green&Black!

samedi 7 septembre 2013

LES ANTIOCCIDENTS & les effets indésirables!



A l' Artique des Corées,
carnavals riches en fer
pour généraux d'apparat!

10 Perses des echequiers
des Saladins trop érudits 
du Coran alternatif!

Idéaux Platoniciens,
suppôts de Satan
vous allez dérouiller 
par l'Halal chimie
des agents ANTIOCCIDENTS!

Balistique longue portée
et châtiment à sa moitié.
Certainement un accès 
de confiance pour
motiver la"Miss Konass"
violée voilée de l'année.
A vos Marximes 
prêts mises à feu...

Petits soldats
aux frontières,
pilotes d'essais
cliniques 
et tout les
francs tireurs
à l'archaïsme patriotique
dans toute l'étendue 
de la pensée unique
aux parcours fléchés
despotiques.

Idéaux Platoniciens,
suppôts de Satan,
vous allez dérouiller 
par l'Halal chimie
des agents ANTIOCCIDENTS!

LES MAUVAISES HÉBÉTUDES



Aux mauvaises hébétudes,
je dissocie 
les thérapies de groupes
et le mal nécessaire 
à l'ironie de son bien.

Des mauvaises herbes,
sur Rasta Square
aux terriers 
des Bad Rabbits
broutent des vaches à beu.

Allumes-moi
le début de l'univers!
Fais tourner
le Big bang
ma fée soufflette!

Femelles hamster
dament le pion
aux élixirs frelatés
des égarés du flacon
à fond de roulette.

Décalqués du transfert 
sans correspondances tracent
en réseaux secondaires
vagabonds du wagon
Déraillés d'la boulette.

vendredi 6 septembre 2013

LES MAUX DITS



Peines qui désertent nos veines

quand les maux filent.
Je n'suis pas sur
de ma blessure!
Bon sang!
Es-tu porté disparu?

Là où je vais
l'œil du ciel 
n'est pas convié!
Épargnez moi
vos litanies revisitées,
en longueurs
et ennuis répétés.

Quels sages 
m'avaient déclaré fou!
J'étais le jouet cassé
de certitudes maudites
avérées!

En mon extase universelle,
que me restait t'il
du genre humain?

Soyez maux dits
ou lobotomies
couchées 
sur délits superposés
à se déflorer le casier.

Étais-je coupable?

Dieux de la vermine,
de quelle gangrène 
souhaitiez vous
m' immortaliser?

Il me fallait
fuir des camps 
de la certitude,
m' illimiter 
encore plus loin!
M' approfondir 
l'abîme 
de guérisons
mystiques!