À ma mère, et a Marguerite Duras
Atmosphère chargée,
d'un mal invisible dont on ne cicatrise
jamais.
L'ombre intérieure dispense ses abominations.
Dans quoi nous fait t'elle plonger?
Accorder moi un peu de votre malaise,
figé que je suis dans l'impuissance à la
domestication.
Promesses tenues a la marée montantes des égarements d'un fleuve.
Pas de quoi entretenir les mythologies
du quotidien.
À l'abri de tout les assauts, cette désobéissance au temps qui fini par
réclamer son du aussi soudainement
qu'une gifle glacée à la face.
Des lors nous aspire l'hiver.
Tragédie hémorragique, poison déclencheur et entrave à la fois une assistance respiratoire qui a renoncée
a nous faire renaître de nos pertes.
L'insoumission désengage et de la
sauvagerie n'en préserver que le sauvage.
Invitables désirs immergés au fond
de l'absence trahies par des musicalités syntoxiques.
Le brouillard qui fait perdre la manche,
sables refoulés de trop de passage et
je n'ai rien retrouvé d'elles.
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