jeudi 3 janvier 2013

L'EXCESSION



Pour quel imprévu,

depuis quel ponton,
peu m'importe d'embarquement,
ouverte sur les confins.
En l'espace d'un délai de pensée,
se module la fréquence du canal,
propulsée pour syntoniser l'ailleurs.

Pas d'excessions défaites,
n'efface l'inconnu impulsé!

De l'immense dans l'exigu,
telle un dispense de raison,
impossible à révéler docilement,
sans sauter du train.
Il trace bondé de gravité,
d'ordinaires cavales,
locomotivees de pâleurs.

Pas d'excessions défaites,
n'efface l'inconnu impulsé!

S'émouvoir à vue,
tenir ses besogneuses positions,
qu'en ressortent les agissements,
l'âme a la main.
Le privilège de jetables denrées,
aux répétitivites banales,
ponctuées de hauts parleurs.

Pas d'excessions défaites,
n'efface l'inconnu impulsé!

Rien d'ambigu,
tout 100 chiennes au donjon,
débordantes de déclenchements,
en chutes de reins.
À l'épreuve du feu sacré,
les haletantes s'empalent,
fixées sur le rut vengeur.

Pas d'excessions défaites,
n'efface l'inconnu impulsé!

Aucuns sous entendus,
en mal d'imprégnation,
ne façonne sur le champs,
a sa faim.
S'image une métaphore insensée,
les appétits du cannibale,
aux préceptes recreateurs.

Pas d'excessions défaites,
n'efface l'inconnu impulsé!

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