mardi 31 décembre 2013

ÉCHEC STIGMATE

Entailles diagonales 
que matent les fous!
Dames de disgrâces
j'étais trop cavalier à votre goût!

En raison de mes balafres
reçues en d'innombrables coups
au grand dam de ma face
quand l'espion m'enfonce le clou!

Échec stigmate!
Échec stigmate!
Mort au désarroi
sa couronne volée aux tours!

Épouvantail marginal 
à quoi tu joues?
Infâme glaces
qui ne te préserve pas du flou!

Au-dessus tournoient les cafres 
déçus de ne rien survoler à bout
et s'exclament de ma place
protecteur sans tabous!

Échec stigmate!
Échec stigmate!
Mort au désarroi 
sa couronne volée aux tours!







VERSÉ DANS LE VIDE

Pauvre cerveau
qui me cède ses mots!
Air qui prend possession 
à la source des sons
et moi qui en désinhibe le ton.

Métaphores mordantes
visages des émotions 
dans les mâchoires de l'audace
broient les perceptions.

Gouffre sans fin
rien n'a pu se taire
ni le hurlement
ni le fluide
que j'ai versé dans le vide!

Pauvres animaux
pour qui aucun instinct n'est de trop!
Fin ou juste transition 
à la course aux questions
aux abois à l'heure des moissons.

Sémaphore sous déferlantes
rivages des abandons
dans l'entonnoir vers l'impasse 
se noient les illusions.

Gouffre sans fin
rien n'a pu se taire
ni le hurlement 
ni le fluide
que j'ai versé dans le vide!









lundi 30 décembre 2013

DES ELLES ET L'ÉCRIT

Sous l'emprise d'un courant galvanique
quand la fièvre sans sueur s'invite
j'ai connecté mon âme à son versant électrique.

Épousant le premier portant venu
ma veste suspendu au superflu
de thermiques aux étranges saluts
j'ai usé de ma plume à vu.

A sang  mes syllabes cliniques
enfantées de maux tombés à pic,
un jet sur l'écrit d'une sève plongeant
dans l'épique.

Outrageant la gravité des vertus
ma peste à le feu au cul
et fornique d'échanges en abus
sous une lune à demi-nue.






lundi 23 décembre 2013

SYSTÈME DÉPRESSIONNAIRE

Spirale venteuse
le souffle prend 
de grands airs!

M Wayne!
M Lee!
M le Boss!
M Banner!
Le squale mis au vert!
M Almighty!
M Willis!
M Walker!
Un œil intense de tourments
tel un système dépressionnaire!

Méduse venimeuse 
par rafale mes moments
immunisés sur ta chair!

M Wayne!
M Lee!
M le Boss!
M Banner!
Le squale mis au vert!
M Almighty!
M Williis!
M Walker!
Un œil intense de tourments 
tel un système dépressionnaire!





samedi 21 décembre 2013

CHARGED OF TRUTH

Mysterious waves
bones under the graves
and the walking deads
owners of power
at the top of the tower
day after day.

Another slide of me!
Another slide of me!
What's falling?
Who's guilty?

Judge me!
Condamn me!
I see you're death in mine!
I see you're death in mine!

Numerous braves
liviing on the edge
a price on their heads
wounded in dishonor 
for a word in a colour
a soul in a different way.

Another slide of me!
Another slide of me!
What's falling?
Who's guilty?

Judge me!
Condamn me!
I see you're death in mine!
I see you're death in mine!

SITAR À L'AUBE

Rejoins par mes hantises
sous des cordes sans surprises
d'impudiques tropiques
équateurs de moiteurs 
qui uni l'étoffe au galbe
quand la soie
transpire le désir.

Roue du Karma
coma de Ganga
Tabla sans blabla 
figures Tantriques
dans la lumineuse genèse 
Sitar à l'aube!

Au-loin se précisent 
hors de toutes  croyances admises
d'hypnotiques harmoniques
du charmeur assis en tailleur
qui séduit le calme
resté sans voix
de New Delhi"re"!

Roue du Karma
coma de Ganga
Tabla sans blabla 
figures Tantriques
dans la lumineuse genèse 
Sitar à l'aube!





L'ESSENCE DE L'HUMEUR

Justes dissonances
au volant de " l'auto-destruction"
femmes et embardées
telles les élixirs du décor!

Faussaires de vérités
aux justes contrefaçons 
qui dégainent l'hospitalité 
et jouent l'ignorance des trésors!

J'fais les frais d'un détournement d'abstrait
engagé en désertion 
dans l'espace temps pestiféré 
par le génie d'un rat mort!

Facettes de détresse 
la rechute attend sur le perron
et l'arrière  boutique aux fuites stockées
vend sa récidive à prix d'or!
 




jeudi 19 décembre 2013

LE REVENANT

J'passe ma vie de retour
imbibé de folie
coagulé comme par magie.
J'trébuche mon sort
entre trous d'accalmies 
gouffres d'injures.

Combien de sexes ont ravis mes appétits
et déjoués mes sens?
Combien d'humeurs orageuses m'ont
maudit autant que des silences?

J'm'écoule à rebours
et pointés vers l'infini
s'illimitent mes flagrants délits.
Embûches et angles morts
enfoncent le clou d'une alchimie 
qui me souffle l'impur.

Combien de sexes ont ravis mes appétits 
et déjoués mes sens?
Combien d'humeurs orageuses m'ont
maudit autant que des silences? 


mardi 17 décembre 2013

VEILLEUR DE NUIT

Dans le drame
d'un jour qui chute
sortent les éclairés 
de la lumière morte.

Demi-noyés 
d'instants qui ne finissent 
pas leurs courses,
passés la dernière vague
naîtra le naufrage!

Enfants penchés 
au-dessus du risque,
par quels vertiges
serez-vous désignés?

Toi qui déborde de l'accalmie!
Étrange son où es-tu allé me perdre?
Raison mélodieuse, 
pourquoi ne me joues-tu rien?

Lointains endormis 
aux silences planants
en ombres sur les cris
de cauchemars bien nourris!

Mon amour,
toi qui me parle du regard
et aveugle les fantômes
qui m'envoutent la tête.
Comment l'être 
de si peu que je suis,
amant des lunes
confident des peurs
parviendrait t'il à te mériter? 



lundi 16 décembre 2013

NOTHING REALLY LASTS!

Queen of beauty
thinks God is
an unlimited
crédit card!

Don't you know 
there's no mistake
miss fake!

You seasonal toy
will be replaced!

And then you'll change
into a vintage coke addict whore!

Nothing ever lasts!
Nothing ever lasts!

Can't wait to be almighty!
Where are the codes to eternity?
Young predator
plays it hard!

As high as you may go
with all the ego it takes
a mystic ride on a snake!

You opportunistic boy
is hot on the seat!

And then you'll change 
into a lord of war!

Nothing ever lasts!
Nothing ever lasts!





vendredi 13 décembre 2013

LES PESANTEURS BARBARES

D'un revers de raison
à l'envers d'une saison
dans l'écume échouée 
aux bulles éclatées 
que tout sables ont aspiré.

Il n'est fait aucune mention
de l'écrasant soleil de plomb
aux rayons acharnés
d'Herculéenne gravité
sépulture de légèreté.

Aux amers de l'émotion 
ces envoûtés du ponton
noyés dans la brume d'été 
au bord de l'aube désolée  
face à l'horizon des emportés.


jeudi 12 décembre 2013

LES CAPTIFS

Mauvais comédiens 
par qui les tirades de l'objet
complètent les actes manqués 
des suppôts de l'image
qui vendent le detail en pièces!

Attirez l'attention du drame
jeunesse provisoire 
surjouée aux fluides pernicieux
des célébrités arbitraires
aux talents éjectables!

Captifs!
Insectes nocturnes
sur la toile aux projecteurs somptuaires!

L'appât du gain
aux ordonnances dépêchées 
du bien totalitaire télévisé 
qui remet à la page
l'audimat tenu en liesse!

Fumées d'intoxication qui damne
d'illusions divinatoires
les poupées prises par deux
par de vieux milliardaires
aux partouzes respectables!

Captifs!
Insectes nocturnes
sur la toile aux projecteurs somptuaires!


mardi 10 décembre 2013

INSPIRATION HUNTER

It's not always guided
by my best intentions.
Out million light years away
is an interstellar fantasy!
I'm outta control
and you're my kind of drug
an impredictible trip!

And I'm sick of mass production!
Where are my contradictory attractions?
Found in these entries 
I spy on the occult!
Nothing has never gone too far
in a Karma
in a coma
in the enigma
for the sake of 
the inspiration Hunter!

All the spells of the dark side 
stir up  my worst obsessions.
My state of confusion is a doomsday
a burglar car in the extasensory!
The strongest alcohol
as much as my fingers in the plug
my necessary electric shock!

And I'm sick of mass production!
Where are my contradictory attractions?
Found in these entries
I spy the occult!
Nothing has never gone too far
in a Karma
in a coma
in the enigma
for the sake of
 the inspiration Hunter!







samedi 7 décembre 2013

CODES STRANGULATEURS!

À partir de l'invisible 
l'introspection se rend justice!
Loin des pétrifiés 
de la connerie 
dans une transe inavouée 
la nature cosmique 
aux espaces sacrés 
nous livre les secrets
du pouvoir de création.

L'ère de l'outrance 
oblitère la pensée originelle 
nous conduisant à entretenir
nos turpitudes de décadents millénaires.
Par crainte de l'insignifiance 
passer de misérable à médiocre 
nous rendant serviles des banalités 
à genou devant l'autel
des divinités tutélaires de la finance.

Prisonniers de nos fantasmes
source même de notre possible éradication.
Ne serions nous pas les premiers surpris
par l'absence de manque?
Additions de fractions obsessionnelles,
contemporaines anomalies,
le bruit ne survit que par l'onde 
qu'il produit! 




vendredi 6 décembre 2013

LES MAUX DU POÈTE

Sous les tentures 
des diseuses de bonne aventure,
la gitane hypnotique au bec
il s'enfume entre boule de Crystal 
et le va et vient du pendule.
Trois sous pour Esmeralda
et de séduisantes prédictions 
auxquelles il ne croit pas.
L'éperdu éternel 
ne partage ses croyances
qu'avec des douleurs en partance!
Grand malade
que la fièvre et les maux submergent.
L'idéal en rade
pour mieux mourir au combat!
Tueur impitoyable 
qui se tient lui-même mille fois en joue.
L'embrasé du cœur 
qui ne brûle que par la passion
ou la rupture.
Le contemplatif 
de scènes où abîmes 
et firmaments
se signent!
L'abondant de la rime
nourrit de l'incompris
qu'il s'imagine.

jeudi 5 décembre 2013

MISTRESS OF MYSTERY

Cloud the issue
Loud and clear
straight to you
coming near!

Read in between the lines.
Recognize the most imperceptible signs
by a strange irony of fate.

Mist all over me!
Mistress of mystery!
Mist all over me!
Mistress of mistery!

Call the voodoo
the line is clear
straight to you
then you appear!

A canary in a coal mine,
and a parallel world until the end of time
while my beast is at the gate.

Mist all over me!
Mistress of mistery!
Mist all over me!
Mistress of mistery!








mardi 3 décembre 2013

M'USER DE MUSES!

De passage comme une rumeur.
Je fuyais l'espoir à perte
des faux prophètes!

Du rivage montait une clameur.
Je fuyais ses accents d'expertes
de nymphes offertes!

Regagner le large!
Regagner le large!
Choisir de m'y perdre corps sans bien!
Ne plus m'user de muses!

Dévêtu de l'ombre qui trahie le penseur.
Je tenais mon rôle nu dans la tempête 
joué à tout vent rien que je ne regrette!

Vaincu mes paradoxes de l'humeur.
J'n'y tenais plus qu'en reniflette 
rasé de l'âme starlette!

Regagner le large!
Regagner le large!
Choisir de m'y perdre corps sans bien!
Ne plus m'user de muses!
 




dimanche 1 décembre 2013

L'AMI CHEMIN

L'inconnu dont j'entends la voix
puisqu'il me l'ouvre.
Tout tracé mon confident du confus
aux extases de moments trop courts.
Change d'habit 
d'horizon sans raison.
Latitudes qui me pincent l'imagerie 
bien davantage que ces maux
qui avaient fait de moi le coupable 
autant que l'otage.
Du grand des bandits 
aux brumes sages qui le masque
déconcertant de révélations et
de pertes nous nous empruntons
au-delà des itinéraires d'amertumes
contenues.
Ni trompeur bien que souvent confondu
il nourrit mes appétits sans fin et
digéré dirigé sur lui je m'infinis.
Denrée de ma perte,
nourricier de mon âme rescapée  
moi qui te foule quand tu me traverse
de visions brûlantes aux curiosités
impossibles à consumer.
Que pour d'autres en leurs temps
jamais tu ne cesses de nous tenir
libres marcheurs de nos pas.






samedi 30 novembre 2013

LES BASSES MAGIES

Depuis qu'en cours de route
se sont perdus les points d'origine!
Depuis que gavés d'autres matières,
il nous a fallu revenir de loin!

Depuis que les codes ont rendu
nos formes prisonnières!
Monde de moi sans émoi 
qui se rassure le sens en cage!

Depuis combien de temps,
je me ment?
J'ai confondu les basses magies
en instincts primitifs aiguës!

Dans mon chapeau sans doute
les mots que tu attends sous cocaïne!
Sous le pseudo de mystère stellaire,
s'envoyer en l'air dans un coin!

Le long des avenues du sexe à vue 
une course en solitaire!
N'en réponde de ce choix à l'étroit 
que ma bestialité de passage!

Depuis combien de temps,
je me ment?
J'ai confondu les basses magies
en instincts primitifs aiguës!




vendredi 29 novembre 2013

J'ME REPENSE!

Noyé de vertiges,
métamorphoses d'Ovide.
De l'extérieur des marges,
illusions d'où j'émerge.

De l'absent à l'extra lucide,
des contraires aux évidences,
j'me dépasse à l'aile,
du rampant que je fus pour elle!

Fusent les questions
qui me repensent!
Bien loin des doutes
qui planèrent sur mon existence.

Plus rien ne m'oblige,
ne me décompose aux acides.
Au-dessus du large,
les perceptions convergent.

De mes calmants, mes homicides 
d'animal dopé aux dépendances,
j'assume mes restes de cervelle,
mutant d'instincts qui me révèlent!

Fusent les questions
qui me repensent!
Bien loin des doutes
qui planèrent sur mon existence.
 

 



jeudi 28 novembre 2013

LES OS ROUILLÉS

Fringuant fer sertis de chrome
auquel nos revers soudent
de bien disgracieuses plaques.
Si elles nous blindent,
c'est sous leurs poids 
que par le fond elles nous mènent. 

Piquante puis intrusive
la rouille nous affecte et nous infecte.
En uniforme d'ocre aux teintes d'automne dont nul ne s'étonne,
le conglomérat ferrugineux s'étend
sur cette terre de fracture
qui jadis fut sacré.

Tournoyant dans l'azur 
la majesté du vol guette la charogne.
Imposant au sol sa laideur, le vautour
rougit d'entrailles contemple son chaos.
Capots tantôt entrouverts tantôt éventrés
où s'étirent les mauvaises herbes formant un ombrage providentiel à la 
communauté des nuisibles scorpions 
et crotales.

Pick-up, break, berlines, muscles cars
d'un autre temps superposés, entremêlés parfois même greffées les 
unes aux autres dans une orgie mécanique moribonde. 
Les épaves se font face, les yeux injectés
droit dans les phares évidés.
Mots doux auxquelles injures et bouteilles
fracassées se conjuguent.

Qui devine encore les galbes lustrés d'antan trahis au meilleur de leurs options!
Qui se souci de l'épopée de chacune
objet sulfureux, outil de travail, habitacle 
mobile familial auxquels seule la parole
à manqué.
Vrombissantes de nos caprices à volonté 
depuis le premier quart de tours jusqu'aux os rouillés.

mardi 26 novembre 2013

ICONIC VILLAIN

Huge squawkers
like the eyes of the owl
were staring at me!

Too many changes of direction 
madly surrounded me!

Whatever I managed to overcome
persistence would prevail
when all else would fail!

Iconic villain!
Iconic villain!
I'm full of myself!
I have to fire 
some parts of me!

Nightmares delivered
their accurate howls
they came closer to me!

Too much toxicity in my perception 
deeply invaded me!

However my whole innocence was gone
in every act I could betray
as ones confidence on my way!

Iconic villain!
Iconic villain!
I'm full of myself!
I have to fire 
some parts of me!

lundi 25 novembre 2013

A SHARK, A TAX!

Eruptive stone!
A hotspot 
a latitude unknown!
Southerly zone
we consider as home.

Spices and girls!
Percutions and sitars 
and above
the shooting stars!

Like anyone
we bear our scars!
We were pirats!
We were masters!
We were slaved!
But after the cyclone
who was saved?
A molten lava flow
is running in
our veins!

Caught in the jaws
we pray as much as we pay!
The fear attacks!
Danger attracts!
A shark, a tax!
A shark, a tax!

Massive cone!
A snapshot 
of the effect shown!
Basaltic dome
in the fog alone.

The vice is in the pearl!
She's not worth my car
I trully love
nearly as much as rhum bars!

Many  tones
wears the lizard!
We were pirats!
We were masters!
We were slaved!
But would the icons
protect me from her bed?
The darkest hollow
is breaking 
all my chains!

Caught in the jaws
we pray as much as we pay!
The fear attacks!
Danger attracks!
A shark, a tax!
A shark, a tax!
















jeudi 21 novembre 2013

IMPAIRS & PASSES!

Sous d'insistants crachins
ou de fiévreuses moiteurs
aux heures qui s'allument 
sortent les Nina, les Lola
et autres Pearl!

Aiguilles vernies
au reste assorti
qui rehaussent 
et précise  
les courbes du désir
sous les néons 
dans un jeu de reflet
s'anime le pavé humide et sexué.

Tremblants désespérés,
vieux habitués,
les fuyards, les pleins d'acné!
Pour une poignée d'ex taulards 
et les futurs si on pénalise 
la jouissance tarifé!

Impairs & passes!
Impairs & passes!
Mères courages,
esclaves maquées,
baby dolls camées,
nymphos blasées!

Sociaux despotiques
aux call girls
et maîtresses de donjons
des ramollis de l'hémicycle
ne sentez vous pas
qu'il est si bon
d'entretenir ses paradoxes!




mardi 19 novembre 2013

STRATOSPHERIC DITRESSOR VORTEX PROCESSOR!

Once upon again!
A dry double black door man
and a confusion of pills
on my tray.
Swallow!
Swallow,
and follow the lost to the fucktory! 

Here it comes!
Hear it come! 
There's no you in me!

Univerasshole receivers!
I'm down on the bitch
dressed in a plastic 
peculiar bay
under a rubber sun.
I'll be the tides
of her C sides!

Stratospheric distressor vortex processor!
Would my daugther get married
to a robot?
Would I deadly shoot
the cousin of fun
if he ever tried
to rape the strawberry?


A cup of keys thrown again!
I'm locked in me out of time
but I never miss a piss 
on my way.
Dirty towels!
Dirty towels 
ghosting in the background!

Here it comes!
Hear it come!
There's no you in me!

Univasshole receivers!
I'm down on the bitch
dressed in a plastic 
peculiar bay
under a rubber sun.
I'll be the tides
of her C sides!

Stratodpheric distressor vortex
 processor!
Would my daugther get married
to a robot?
Would I deadly shoot
the cousin of fun
if he ever tried
to rape the strawberry?

I'm stealing my coat again!
I'm wearing any side I can
and the pouring invasion still
have new gods everyday.
Scarecrow!
Scarecrow,
where will my disturbance drive me?

Here it comes!
Hear it come!
There's no you in me!





lundi 18 novembre 2013

YELLOW PHOBIC CABLE MAN!

Some things we forget.
Some others are just remembered.
In a life of tears blood& sweat,
something is done
yet something is dead!

No misfortune
on this early autumn
and nothing under 
the insisting light rain
is such an enjoyable prison.

From the top of the fireworks
emerged a night flight
and the yellow phobic cable man!
and the yellow phobic cable man!

Another one for safety at the gate
another one just unexpected
as the unknowns we had met.
Something is done 
yet something is dead!

Always tune
then the overdrive gets handsome.
And nothing sounds better
as far as I remain
than this ride  with delay & distorsion.

From the top of the fireworks 
emerged a night flight
and the yellow phobic cable man!
And the yellow phobic cable man!

vendredi 1 novembre 2013

MESSAGE AUX LECTEURS

Chers lecteurs,
je vous informe d'une courte interruption 
des publications pour raisons musicales.
Encore mille merci de votre fidélité depuis un an et demi.
A très vite!
Dasbruce 

jeudi 31 octobre 2013

L'ENTREPÔT DE CRIS

Le vice est un abîme en mouvement,
le crédit accordé au scandale.
Le délire maintenu à des lieues au-devant
de l'inspiration.
Il me faut terrasser le jugement,
émettre de la distance qu'enfin 
je m'abandonne à la lutte contre
la pensée.
Ce soir je dine avec mon âme!
Je croyais fermement qu'elle m'avait
quittée.
Gavés de nocif l'éclipse dans les pupilles,
mon âme et moi-même feront barrages
aux figés du reflets.
Dans l'aliénation d'un chantier qui construit de l'irréalité, l'adverse et ses
tables d'opérations voleront  le germe 
aux éternels envoûtés.
Dans un cylindre quelconque au passage
l'air me parlera et m'indiquera où se trouve l'entrepôt de cris.
J'y choisirai un strident, un qui déchire,
ainsi administré de vos chocs, ceux qui
rassurent vos doutes et qu'ébranlé de
contorsions, vous m'estimerez conforme
à vos transgéniques cultures, je m'arracherai de l'énergie qui me reste et
hurlerai que c'est dans l'erreur que j'ai 
commis le spontané!

mercredi 30 octobre 2013

LE CHAOS DU CYCLE

De la chaîne des signes,
tout au long
fantasmer les reflets qui clignent.

Espérer qu'ils se devinent,
comme un pont
que l'alternatif ou le continu désigne.

Déformer l'ignoré,
exprimer ce qui nous échappe.
La chaleur d'un souffle,
la froideur du marbre.
Interpréter l'ombre
dans le chaos du cycle!

L'inconnu est un hymne,
où l'inattendu  son
ne raisonne que de tonalités clandestines.

Esprits des formes assassines,
sur quel ton
s'inspirent les lignes.

Déformer l'ignoré,
exprimer ce qui nous échappe.
La chaleur d'un souffle,
la froideur du marbre.
Interpréter l'ombre 
dans le chaos du cycle!

Hantises qui raniment
les abandons 
d'oublis qui se résignent.

Altérations sublimes
aux transmissions
d'élans qui se combinent.

Déformer l'ignoré,
exprimer ce qui nous échappe.
La chaleur d'un souffle,
la froideur du marbre.
Interpréter l'ombre 
dans le chaos du cycle!





lundi 28 octobre 2013

TIME DISTORSION

Some days never seem to end
while life is too short!
The ex god said
eternity is fucking boaring
especially at it's end!

Slaved to a clock!
Leashed to a dock!
Saved by the illusion
of a need!
Ready to kill
for a miracle pill!

Some say it's all fading again
and I might get shot!
There's no promised aid
and I guess the calling
comes from the words I send!

Slaved to clock!
Leashed to a dock!
Saved by the illusion 
of a need!
Ready to kill
for a miracle pill!

All gone out of control working class legend!
Where have all you're wills been caught!
I'm falling in the hole I made
and elegantly wasting
my time until the bitter end!

Slaved to a clock!
Leashed to a dock!
Saved by the illusion 
of a need!
Ready to kill
for a miracle pill!


dimanche 27 octobre 2013

L'AIR

Torturée dans la même chaire,
salope de service
et sainte femme
prête à sauver 
l'enfer!

Hong -Kong 
j'me suis inspiré 
de ton air!
Comme une coke
trop coupée 
sans extralucidité
particulière!

Déchaînée du calendrier lunaire,
non stop de supplice 
et feu de came
sans protéger
ses arrières!

King-Kong
j'me suis inspiré 
de ton air!
Dans ma paume
une poupée 
qui ne veux plus 
toucher terre!





DOUBLE TROUBLE

Fièvres frondeuses,
chimie diverses
de l'électricité des nuits
de ceux qui se plaisent
à déserter leurs rôles!

Trouble double
expulsé du mur
de la tyrannie 
aux briques 
serviles! 

Subversion de son temps
qui engrosse l'ère suivante!
Que le poison se renouvelle 
des appétits de lui même!

Trouble double
du reflet qui se brise!
Du sang sur les mains
d'un amour 
sans lendemain!



Ivresses sondeuses,
où le banni se déverse 
dans l'espérance de survie
aux expériences qui baisent
la moralité à tour de rôle!

Trouble double
expulsé du mur
de la tyrannie 
aux briques
serviles!

Prostitution du désintéressement 
insatiable de désinvoltures stupéfiantes!
Que la combustion des cervelles
brûle les neurones de la gangrène!

Trouble double
du reflet qui se brise!
Du sang sur les mains
d'un amour
sans lendemain!


samedi 26 octobre 2013

SENIOR MOMENTS

If you think I'm lost!
If you think I should
remember where
I threw the keys!

If you think it's my trauma!
If you think I'm in a coma
and I'm no longer here anymore
just being held to
what I used to be.
Awaken occasionally 
 by a momentary lapse
of memory!

I'm allready gone!
I'm allready gone!

My metamorphosis 
is on it's way!
There's no trouble 
in my bubble!


L'AUBE MORNE

Elle pèse de tout son poids
la grisaille colossale!
Aux teintes d'ardoises délavées
elle empreinte l'habit sinistre
de l'aube morne.

Lambeaux de brumes
à la surface des champs
où croassent les ombres brunes
défiant le mortel silence,
courtisant l'épouvantail 
au milieu d'un océan
de maigres semailles.

Pierres voisines
qui furent ruines.
Mares éparses 
creusées jadis
par les mines.

J'inhale toute la désolation 
et les yeux clos 
unes à unes les larmes 
du dessus s'abattent 
sur mon visage
éveillant à mes pieds
la chorale des feuilles mortes.

L'humus me remonte aux narines!

Vite!
Il me faut écrire!



vendredi 25 octobre 2013

LE JEU DE LA DOULEUR! hommage à Ian Curtis

À la pointe du spasme,
la lance qui prête à convulsions!
Cérémonie du simulacre 
sur l'autel des joies de la division!

Jeu de la douleur!
Jeu de la douleur!

De fil et en aiguille
jusqu'à la corde raide!
Faire danser le mal!
Faire mouche 
d'hypnose frénétique!

Jeu de la douleur!
Jeu de la douleur!

Ce qui suinte du masque,
transpire le confus et l'abandon!
L'agonie du spectacle 
à laquelle s'unit l'effroi de l'isolation!

Jeu de la douleur!
Jeu de la douleur!

Grésille et vacille 
absences  sans remèdes!
Papillon bancal
qui débouche 
en génie amnésique!

Jeu de la douleur!
Jeu de la douleur!



PARADIS MENSONGERS

C'est quoi la devise
pour la terre promise!

Culpabilise!
Culpabilise!
Culpabilise!

À quoi tu collabore?
Coincé entre 2 banquises!

Pactises!
Pactises!
Pactises!

Faut t'il boire le sang manger le corps?
100 péchés de ses hantises!

Traîtrise!
Traîtrise!
Traîtrise!

Veux-tu te payer une bonne mort?
Saignes et te signes anathématises!

Stigmatises!
Stigmatises!
Stigmatises!

Es-tu le jeté du sort?
Le cloué de la leçon par méprise!

Lobotomises!
Lobotomises!
Lobotomises! 



jeudi 24 octobre 2013

DES RIVES EN EX PORTS!

Aucun ne m'est d'attache!
Aucun ne m'est bon en retour!
Aux embouchures saumâtres
trop empruntées.
Je m'évapore dans les brumes
d'un mouillage improvisé.

Encre déchaînée 
qui puise dans le fluide
de l'élément qui se forme
et l'écume s'en moutonne.

Se révéler le nacré
le sacre enfiévré pour guide
entre les volutes la sourde corne
et au loin la mangeuse d'homme.

Aucun n'est d' Apache!
Aucun indifférent au long court!
Aux Excaliburs qui s'idolâtrent
de l'âme trop reflétée.
J' élabore à bout de plume
le désarrimage de ma face cachée. 




SI ME TUER TE LIBERES....

À peine venu!
Ancré de longue date!
Dans la panique
ou la pensée 
d'un autre,
tu m'a dévisagé!

Gâchette éloquente!
Grand moment
de détente!
N'allez pas vous perdre
calibres de circonstance!

Exauces mon cerveau malade
joli coup
viens t'y loger,
sans trembler!

Cause entendue! Boom!
J'étais étendu 
curieusement détendu 
au-dessus 
de ma rigidité cadavérique.

Brûlez le poids mort!
Brûlez le poids mort!
Ce reste d'une poignée 
de temps.
Ce cours laps de raison
dont on dit 
qu'il est défunt 
de maudite fin!
Je n'en voit aucune.

Maintenant se repenser!
Chimie du vice,
en corps humain!
Fractions d'éphémères
je suis éternité!

Animal!
Nuisible, mangé ,dressé,protégé!
Végétal!
Toxique,mangé,tronçonné, brûlé!
Minéral!
Exploité, dynamité,convoité!

Que je m'oublie!
Que je m'oublie!










mercredi 23 octobre 2013

L ARBRE QUI CRACHE LA GRAPHORRHÉE

À parcourir tout les hasards,
curieux de l' improbabilité.
J'ai devancé un retard
de ma fragile ponctualité.

L'arbre qui crache
la graphorrhée.
Feuille blanche!
Nervures à vif!
Sang d'encre
des profondeurs
de la veine!

Me réduire à l'ennui pour ami
déformé d'impossibilités.
J'suis sortis du placard
où j'étais mal rangé.

L'arbre qui crache
la graphorrhée.
Feuille blanche!
Nervures à vif!
Sang d'encre 
des profondeurs
de la veine!


Se suffire d'attractions trop rares,
souffrir des incompatibilités.
J'ai soutenu un regard
ou le futile m'a aspiré.

L'arbre qui crache
la graphorrhée.
Feuille blanche!
Nervures à vif!
Sang d'encre
des profondeurs 
de la veine!



Au fou rire de mon anomalie 
répond mon avérée bipolarité.
J'ai trop d'autres au parloir
qui veulent changer de danger.

L'arbre qui crache
la graphorrhée.
Feuille blanche!
Nervure à vif!
Sang d'encre
des profondeurs
de la veine!

Se saisir d'une intuition bizarre,
basse fréquence survoltée.
Je souhaite ton départ 
puisqu'il faut se manquer.

L'arbre qui crache
la graphorrhée.
Feuille blanche!
Nervures à vif!
Sang d'encre
des profondeurs
de la veine!


À mon compte du pire pas d'accalmie 
mise à mort et animalité.
Je suis l'hallucinatoire 
luxuriant de lucidité.

L'arbre qui crache
la graphorrhée.
Feuille blanche!
Nervures à vif!
Sang d'encre
des profondeurs
de veine!


mardi 22 octobre 2013

DÉBORDEMENTS

Que manque t'il
à nos égarements?
Qu'en est t'il
de nous autres nains
rendus par l'ombre 
Herculéens.

Seule la pénombre 
a gardé en mémoire 
le tracé d'une route
jusqu'à cette île 
qui sombre
continent d'abîmes.

Solitude qui me déborde 
venteuse!
À partir de quand 
trouve t'on les jours
trop longs?

Je veux rester ignorant
de la raison de l'éclair!
Que l'inconnue
me foudroie!

Louves infidèles
que désignez-vous
hurlantes 
aux éclats de lune
à la surface de l'eau?

La faim de l'étranger!
La faim de l'étranger!
 



lundi 21 octobre 2013

PEAU DE MIROIR

J'voudrais pas contrarier
le mimétisme!
Entouré de mon écharpe
en peau d'miroir
je ferais bien
un autre boucle
en distorsion
de reflets!

Et des mois 
que le trouble
n' essaime 
ses foudres 
en volte face
d'électricités
interdites!

Que la prophétie d'affamés 
se mange le complice!
L'écharpé s'échappe 
sous une fourrure métallique 
de cyber chien
qui s'accouple
à l'hallucination 
d'un effet!

Aidez-moi
que mon double
S M
son foutre
d'outre race
ne sorte de la citée 
interdite!





 

samedi 19 octobre 2013

EGO SYSTÈME

Synthèse de tout!
Tout de synthèse!
Combien tu pèses?

Apprendre de tout!
Tout prendre!
Combien J'te baise?

Dieu est DJ
au son d'enfer
pour de compte
de l'égo système!

Parenthèses de fous!
foutaises!
Combien t'en crève?

Protège de tout!
Prothèses!
Combien de sèves t'achevent?

Dieu est un DJ
au son d'enfer 
pour le compte
de L'égo système!


Au-dessus de tout!
Que des cendres!
Comment tu les élèves?

Le bout de tout!
Hypothèse!
Combien pour le rêve?

Dieu est un DJ
au son d'enfer
pour le compte
de l'égo système!




jeudi 17 octobre 2013

CONNEXION



Quelqu'un pourrait t'il
stopper cette chose!?
Avant que ma tête 
n'explose!

Songes d'où naissent
les signes 
qui se reconnaissent!

Aux humeurs qui écument 
les flots de nos abandons.
Aux rousseurs de la lune
qui établissent une liaison.

Aux sons qui me procurent
les maux signés des visions.
Aux douleurs de la plume
s'emportent les perceptions.

Je croise en toi
ma plus belle traversée!
Ma connexion 
la plus insensée!

L'incertain pourrait t'il
être hors de cause!?
Dès lors l'évidence 
s'impose!

Plonge où cessent
les énigmes 
aux ondes qui blessent!

Aux rumeurs qui se consument 
en perte de la raison.
Aux vapeurs qui embrument 
la ligne de flottaison.

Au fond de ce qui dure
l'inexpliqué des pulsions.
Aux torpeurs qui enfument
se soulignent les attractions.

Je croise en toi
ma plus belle traversée!
Ma connexion 
la plus insensée!

ÉTAMINOMANE



Aurore bien à rosée,
belle plante!
Moi l'homme légume 
suis encore dans les choux!
retourné la veste, tige!
reprend un verre, tige!

Stamen où tu veux!
Sex pistil!

Sur la piste de la mieux semée,
cette enivrante!
Entre le marteau et l'agrume 
des clous dans les clous!
Dans du coton,tige!
Du haut vol,tige!

Stamen où tu veux!
Sex pistil!

Avant qu'on soit fanés!
Un rail de ton pollen me tente!
Ne faisons de la mi-graine qu'une,
bouture métissée qui rend fou!
Entretien le mythe, tige!
Défait le lit,tige!
Le temps presse, tige!

Stamen où tu veux!
Sex pistil!

TOUT TEMPS SAIGNE!



Avec le calme
qui sied à la circonstance.
L' effusion est elle mer
de connaissance?
Que s'écoule t'il
des plaies du savoir?
De l'entaille du devoir
découle la chronologie de l'hémorragie!

Tout à prendre!
Tout temps saigne!

Maître de larmes
sous l'arbre de la connaissance,
La transmission est elle le fer
de la lance?
Que s'écoule t'il
s'il me plaît de savoir?
l'homme de paille entaché de pouvoir 
enseigne la sanglante dramaturgie!

Tout à prendre!
Tout temps saigne!

LA PASSAGÈRE



Tu m'a désigné ton sens!
Tu m'a initié aux absences!
Jamais une destination 
ne fut plus grisante!
Une fièvre plus brûlante!

Lèvres de désirs en partance!
Élève mon supplice à l'excellence!
Jamais une combinaison 
ne fut plus brillante!
Une fureur plus ardente!

Lunaisons d'humeurs sous influence!
Partir ou tirer sa révérence!
Jamais une direction 
ne fut plus déroutante!
ma passagère inquiétante!