samedi 15 décembre 2012

MON MOT



Lecteurs, réguliers & occasionnels qui
avez pénétrés mes errances je vous
remercie.
Toutes ces énergies, ces électricités que je côtoie et croise, celles si chères 
a mon cœur vivantes ou rendues à l'univers anonymes ou légendaires,
encore merci.
Tapis dans l'ombre que je suis,votre amour reste ma substance.
Grand merci à mon frère de son Raynald !
Ne soyez pas alarmistes, see u en 2013.
Restez en résonance avec vous-mêmes.

Votre obligé.

mardi 11 décembre 2012

SATIRE À VUE




Tire un trait au marqueur génétique,

décime moi, le vulgaire phénomène 
de foire qui t'hachure sur l'horreur que
ce n'est qu'affaire de graphiques.
Vas-tu crever à l'essai?
Congelé une poignée de génération
dans un sarcophage pour resurgir 
paramétre des décombres du jour 
d'après.
Zoophile a la niche ! Prétentieux orfèvre 
en faux et usage de faux dans la gamelle.
Seigneur du pesticide, 
baiseur de blondeurs transgéniques,
que de la paille sans tête.
Mauvaise herbe qui se paye un gazon
coupé aux ciseaux par des millions de
mignons.
Ah ! La compétitivité des entreprises !
Feu ! Satire a vue.
Placer des pointillés, délimiter la ride
pour caricatures parodisiaques qui 
rétorquent au scalpel en incisions
alarmistes.
Alien que pourra! Entonnent Igor & Grichka. 
Rechargez la pièce petits servants et
honnorez le sentimentalisme des pointeuses.
Feu ! Satire a vue.
Rasés de près, satellites & filatures .
Passer sous la coupe de ces fratries 
a filiation unique, géniteurs névrosés
camés & armés jusqu'aux dents.
Bipède miniature appareillé pour la
dérive sur un caprice flottant avec que
des amis numériques.
Petit geek psychotique en salement 
quelques clicks.
Tout l'attrait de ces cellules résidentielles a 2 garages.
Il semblerait avéré qu'en certaines
contrées à pensées limitées le président drive sur le fareway to heaven avec le grand créateur.
Au club house devant un 2000ans
d'âge ils envoient conflits, virus et 
piqûres de rappel au reste du monde.
Selon les dires le tout puissant porte
mieux le Stetson que la barbe,j'en sais rien
j'le connais pas !
Feu! Satire a vue.
Jolies princesses, nos moitiés supposées dont on fini par soupçonner 
l'existence que par leurs compulsives
dépenses.
S'installe dans le king size bed comme 
une distance aucuns faux plis sur le 
satin glacé, et la tâche ne proviens pas
de ma semence.
Oh ! Ma splendeur adorée, le 3ème œil
n'est pas qu'un pendentif et la tendance 
serait plutôt portée sur le 3ème sein.
Les magnétiques amants trop bien inspirés déraillent à la carte.
(Ma chérie ! Tu as fait du hors piste et
au pied du nez il t'en reste un peu !)
Prends mon sésame doré au possibilités illimitées.
Moi qui du denier passe toujours en premier, tel L'Adonis des liquidités pour
petasses de tout acabit dans la penderie.
Feu! Satire a vue.

LE TRAVAIL À LA CHIENNE




Tout s'étend à perte d'abus,
et s'abandonne à l'illusion
de sa puissance !
Ah ! Le charme du vétuste,
habitats insalubres aux 
balles bien logées.
À l'étage inférieur gémissaient 
les déroutes.
Derrière de frêles cloisons 
les obsessions grandissaient 
émargeant du mystère.

Dans la liesse des machines,
dans les liasses assassines,
j'avais touché la rime.
Prompt a la hargne,
le travail à la chienne !

À mesure que je te parcourais,
se dérobaient unes à unes
toutes mes fascinations.
Crépitent les intentions du regard
a la faveur de nos nuisances !
L'acuité qui s'incruste,
chambres exiguës,
pratiques ambigües,
en mouvements synchrones,
exempts de tout hasard.

Dans la liesse des machines,
dans les liasses assassines,
j'avais touché la rime.
Prompt à la hargne,
le travail à la chienne!

Tout au long de tes muettes
majestés,
ces fumées lentes qui te frôlent
le visage figé et pensif.
Devant l'escalier de secours,
la déchéance rémunérée 
cache t'elle une vérité 
en cuir belle à craquer!
Est-ce la douleur 
qui frappe a ta porte?

Dans la liesse des machines,
dans les liasses assassines,
j'avais touché la rime.
Prompt à la hargne,
le travail à la chienne!

dimanche 2 décembre 2012

JÉSUITES PÈRE & FILS




Faudrait que mère soit tenue au couvant!
À l'ouverture de cette demi chaste
a l'homme, qu'on ne peut rester 
indienne indemme. 
Encense le mouvement automatique 
des canons du grand horloger.
Viens te loger dans la chambre sous
l'œil du percuteur et le mensonge de 
sa détente en enfer.
Tête baissée genoux à terre se tenir
lacéré barreaux aux fenêtres du poste
frontière des peurs.
Un courant souffla gelé nous parcourir
de lézardes, a l'agent de comptoir je
réclame mes bagages en soutane.

Viens serpenter sous l'ombre empêchée, garde la ligne bien inspirée.
Oubli flagrant et petit Delhi toi qui 
païen pour attendre!
Parlons des choses qui flashent aux
hérétiques déclics!
Prends tes aises site on my gode!

Jésuites père & fils
Jésuites père & fils

Sanguinaires croisades à convertir et
légaliser le massacre des ignorants,
n'oublier pas avant de s'étaler en croix
de clouer tout une bonne Foi au vieux 
Rome.
Belles dégaines blêmes au rabais y 
enferment reliques qui prélassent sous
les voûtes de liturgies malsaines.
Barrières végétales libérant des accents ou la main occulte s'abat,
prêter l'oreille, veiller les volutes qui
envahissent les airs de cimes reculées.
Quel beau spectacle interrompu à
mi-scène sous une lunaison pleine
d'extrêmes impropres aux lassantes
récurrences missionnaires.
Brulons nous lécher par ces flammes
qui si vénéneuses damnent.
Elles sont de sortilèges à s'exhiber en
balai.
Sur le carnet de Bâle, seul le Big coq
baise a l'ouverture de la chasse aux sorcières.

Viens serpenter sous l'ombre empêchée, garde la ligne bien inspirée.
Oubli flagrant et petit Delhi toi qui 
païen pour attendre!
Parlons des choses qui flashent aux
hérétiques déclics!
Prends tes aises site on my gode!

Jésuites père & fils
Jésuites père & fils

Allons se soulager dans la femme de
l'inconnu!

L'INCONNAISABLE DES DUNES




Se croisent des traces d'inconnus 
dans les absences de nos étreintes.
Aspirés par la foule du bruit, victimes
sous hypnose des besoins, toutes
ces images ou on s'entête 
placent un contraste sur nos têtes.
L'ombre aurait t-elle moins les dents
longues? 
Certaines choses doivent disparaître,
s'estomper en se floutant de tout
a mesure que s'additionnent les pas.
Il y a comme une crue qui me brouille 
la vue surgit de mes plus insupposes
recoins.
Tamisé sur tout mes grains, je sens 
se dévoiler tout mes avants.
Toute cette geologie empreinte 
d'effondrements de caprices de mouvements d'adaptations insensées.
Je suis ce monticule qui migre une 
figure qui 100visages.
Un grand rift au milieu du front et dans 
le lointain dans la brume de chaleur
des contours féminins drapés du labeur
des insectes, un étendard mouvant flottant aux couleurs du désir.
A ma surface a séjourné tant d'adondance, inutile de trop creuser
le béton n'est pas profond.
Que coffre t'il de bon?
Cadences aux allures carencées.
Ainsi ma course s'interrompt aux 
pieds des remblais.