lundi 26 novembre 2012

EXIL INTÉRIEUR



Fuir précisément, comme une bourrasque de l'aube chargée 

en lacrymalitees nuageuses.
Se volatiliser en cendres
dépouillé par l'émigration du froid.
Se fondre par-delà des lagunes
bordées de marais inquiétants
dont il faudrait a tout prix s'éloigner.
Se sentir pénétré par ces brumes
rampantes.
Le vent du lest gifle le poids mort
implacable, sans pitié pour ces
disparus sans avoir été pleinement 
exaucés.
Anonymes aux tourments qui cohabitent mais qui s'ignorent,
au moindre essoufflement d'horizon
qu'il nous semblait avoir devancé,
nous guette un faux rythme une 
syncope de questions sans réponses
abandonnée en chemin.
À des centaines de mètres du sol
s'érigent les verticalitées du dit progrès 
qui miroitantes de suffisance toisent
a leurs pieds les agonies ancestrales.
Gargouilles, meurtrières mordez la 
poussière.
Quoi que vous fassiez, il vous sera
impossible de distancer vos ombres.
La réalité environnante passe sans
ménagement de la pitrerie au grotesque et bien souvent chez nous autres créatures passagères, petites
mèches en quête de flammes aux
brasiers les plus sordides.
N'allez pas révéler votre sommeil, cette
part de vous a langue bifide.
La nature est une bête qui dévore ses
propres enfants !
Comment dévisager le silence ?
Comment dévitaliser les racines de la
menace?
Particule d'écorce,
goutte de vague,
grain de sol,
brisure de souffle en exil.
L'éternité avait-elle signée sa toile?

dimanche 25 novembre 2012

KROKODIL JUNKIES





Ces citées fantômes ou les désaveuglés en manque de chemins
d'enfer s'égarent aux wagons qui du
rouge de naguère ont tournés morts
de rouille.
Sur la voie fêlée d'eraillements totalitaires à répétition s'égosille 
la déraison d'état, transfuge du
bacchamalsaint empire.
Plus de roubles dans les poches de
l'ordre public !
Pas de stups en heures sup,
mais on va s'occuper de vodka!
Vendanges tzardives.

Krokodil junkies !
Krokodil junkies !

Viens chez Igor te défaire la peau.
Voir la vie en nécrose à effets
dans un maelström d'une montée 
desomorphine.
Rincés de tout et sauriens,
un programme de lavage trop varan !
Le vaccin très orthodoxe,
la solution codée innée !

Krokodil junkies !
Krokodil junkies !

Qu'est ce que ça Dun...dee en Sibérie ?
La tribut des Jivagos a t'elle les crocs ?
Aller replicants volontaires à peine plus
de 1000 jours à gangrèner le sablier.
Aiguillés du trou au cratère par l'ersatz 
de la super héroïne.
N'est ce pas merveilleux shootés sans 
jamais être assez flashes de tomber sur un os !
Le derme du voisin est toujours plus vert !

Krokodil junkies !
Krokodil junkies !

AN EGO AGO




Used to wander through time like
a speedball shattered in trouble
glazing.
Maybe I thought I wasn't dead enough!
Maybe I thought I wasn't dead enough!

An ego ago!
An ego ago!

Alliterations of nasty pervertions
Could things get any worst?
A deranging defilement of a minor,
sorry it's your daugther your honnor.
Glaucous deals are sold far better
than ordinary circumstances.

Compliance for internal defecations
and all the fucking mystical desperations before dawn, all swallowed by the lack of expectations.

An ego ago!
An ego ago!

Some harmonics are more divined 
than heard.
Satraps of my kind will just point the
forefinger towards the unknown pretending they switch on sparkles 
in the empty space.

An ego ago!
An ego ago!

The black dwarf is back!
The black dwarf is back!

Dystopian outcomes will murder the request.
Dystopian outcomes will murder the
request.

An ego ago!
An ego ago!



Used to wander through time like
a speedball shattered in trouble
glazing.
Maybe I thought I wasn't dead enough!
Maybe I thought I wasn't dead enough!

An ego ago!
An ego ago!

Alliterations of nasty pervertions
Could things get any worst?
A deranging defilement of a minor,
sorry it's your daugther your honnor.
Glaucous deals are sold far better
than 

lundi 19 novembre 2012

L'AIR REPTILE



L'outrecuidance sortie de mauvais pas

des retours de campagne.
Ça et là gisent Lazyges mis à bas lanciers légendaires aux marches des
steppes ou Trajan de lésions & de colonnes ornementées de charges héroïques qui délivrent  les entrailles 
au fil de l'âme aux sonorités béantes d'un métallique Rock "So" lent !
Dernier carré Dace Bruce aux cartes brouillées perméables aux Transylvanitees s'abattant en félines
averses griffantes et au temps corrosives sur les plastrons écaillés.
Un echequier aux aboie que cash les guerriers paritaires Lézards matent.

L'invité de mes infractuositées,
j'ai identifié l'abomination!
Dans la perdition ascensionnelle 
de verticalitées Lucifériennes 
des monts Marasmes l'inserpantin 
dévisse trahi par son versatile python.

Aux premières loges du carnaval Quasar, la même ou le peintre possédé 
d'éblouissements ahuris s'avouerait vaincu.
Impossible d'écrire le portrait un telle luminescence venue d'un si lointain 
saumâtre autour de laquelle gravite un
sinistre silhouette qui égrène l'acuité de
l'espace temps.
Serait t'il temps d'aller se noyer dans les fluides de clartés fantomatiques ?
Peut être en fuite aspiré par le fulgurant "Effet Néant" , ce flegmatique vide ordure à matière crevassée d'indifférence antigravitationelle.

Constellé de toiles défilantes éclaboussées en séries par "la corne à muses" quadrillée au plus tard tant la crainte du sale clan est grande.

L'invité de mes infractuositees,

J'ai indentifiee l'abomination !
Dans la perdition ascensionnelle 
de verticalitées Lucifériennes 
des monts Marasmes l'inserpantin 
dévisse trahi par le versatile python.



Entortillé dans mon vivarium, capitonné en état de veille, le peu d'effort pour lesquels je m'adonne n'a pas été que
de me reconnaître constrictor.
Mes étreintes ne désignent pas que
"Mi Amor"!
Luisant élève en dérangeantes matières, j'avoue sans mal mon aversion vipérine.
Vies bien rongées à moi petite tu souris
et bien avant de se perdre de mue ma nana condamnée à être broyée sache que je ne me limiterais pas Cobra.
Suspendu aux branches d'anciennes
ramifications érotiques indiennes, peu
m'importe si au loin tu Naja le contre courant se resserre. Dans l'hypnothese
charmeuse charmée tu es déjà à moi.

samedi 17 novembre 2012

POLYCHROMATISÉ



Parle moi de tes retours d'aridité,
dis moi comment tu as tangué entre
les paradoxes.
Combien de fois t'es tu prosterné au 
pieds de ta souffrance ?
Combien de phrases ou la dernière 
virgule sentait la mort !

Fred Astaire des neuroleptiques &
sédatifs qui te pénètre par toutes tes
Périphéries dont les claquettes trahissent depuis le lointain la suffisance des biens portants.

Entendez moi ! Je suis une divagation pas une idée reçue.
J'appartiens aux destinations dont les
consonnances imagent les atmosphères !

Chaque nouvelle génération prétend
se réapproprier le vice.
Telle une tournure inédite d'Hugo réinventer le génie.
Ce ne sont que des réalités altérées.

En parcourant les murs autour de moi
je prenais la pleine mesure des intentions de de l'humanité, étiquetteter, parquer et mentir !
Il me fallait rester ceintrée dans cette
appartenance a mon style. Ma seconde
peau.

Mes doutes avaient connu à la fois 
tant d'horizons, tant de sillages. Certains m'avaient tendus les bras d'autres haï ou pleurés.
Toute illusion n'est qu'un épais brouillard qui se prétend nuageux, en
somme que de la fumée.

Le puceau avait t'il nommé les contours
de sa fiction?
La naïveté était t'elle sortie du bordel?
Inanimé dans la pleinitude du désir accomplit, j'entendais un mensonge tomber dans une oreille digne.
Sans le soupçonner et bien loin de penser qu'il serait livré à son dégoût le naïf propageait une religion.

samedi 10 novembre 2012

LA CONSCIENCE DES GOUTTES




Assister au tremblement de l'ombre 
avoir l'impression que l'incandescence met le feu à bien plus qu'une cigarette 
quand je te contemple.

Laisser les choses accomplir leur
courbe, espérer du retard à tout les
vols et quand fatigué de l'extase des
fantasmes se fondre, se raréfier,
effacer ses contours en pensant à 
l'animal qui dévore le lendemain.

Étendu sous un plafond ordinaire terne
et opaque la cohue nocturne des grandes mégapoles reflète les intermittences des avenues en contrebas.

Quelle sorte d'alchimie confère à une
senteur son pouvoir ?
Quelles intonations nous récupèrent en
totale érosion ?
La plaine d'effondrement des uns ou 
l'élargissement du lit des autres.

Les prédictions précédant mes démons
me conduisent a emprunter des dédales de bourrasques aux transversalités peu engageantes.
Être récupéré par l'ennemi d'antan 
néanmoins je laisse l'effet s'épanouir 
en moi.

Crois-tu en la longévité des choses
tapageuses ?
Ces parties d'angoisse qui inversent le sens de la marche des aiguilles.
Quelles intrusions redoute tu le plus ?
Sous la surface la conscience des gouttes s'estompe.

FLYING INSTINCT



After the fall of a dream,
when a whisper turns into a scream
and the tale becomes a scene
of my desperate life I've allready seen.

Remember I've got instinct,
and u have style !
We could stay here in the space of
a second for a while.

And nothing instead can stay clear
in this falling appart movie where
I'm acting.

I can tell u mister it's all plastercine
and everything changes into
a submarine, in this unable land 
of strange casting.

Remember I've got instinct,
and u have style !
We could stay here in the space of
a second for a WHILE !

For a WHILE! For a WHILE !

U've got style.

mercredi 7 novembre 2012

LE CHEMIN DE L'ALCOOL




Disconcordances aux déboires 
imbibés.
Entre la cause et l'effet, une telle
sensation d'inhabite au petit matin.
Entre le tonneau et l'écume,
l'indécence paranormale colle !
Même si il est de Banner, 
je suinte déjà la colère.
Encore m' éprendre de rayons gama,
G T presque vert livide de manque.

Sur le chemin de l'alcool !



Allé juste un p'tit Captain Sky histoire de cribler le zingue et monter par 
palier troubler l'ethylitude de croisière.
Après j'me barre en vrille!
C'est depuis quand que ma tremblote en rebord d'elle c'est calmée!
Cocktail dans le cockpit, juré piqué,
crashe, tomber en feuille morte et se perfuser au bon groupe sangria.
Faudrait pas que je m'y prenne comme
un manche!

Sur le chemin de l'alcool!

Pleins phares injectés,
Foie nécrosé, j'ai bu au rebut de tout
et je n'ai jamais décru en rien!
Serait-il deja fréquemment onze heure?
Ça m'a fait le coup hier!
Faut que je m' étende jusqu'au p'tit jaune de doseur Ricard.

Sur le chemin de l'alcool!

Encore un p'tit canon, faut qu'elle arrête
son char, me laisser lui avaler la chenille à cette petite Mescaline!
À! Cette foi je suis bien blindé.
On risquerait de me décerner les plus
plus hautes distillations.
Méfiez vous je bois tout le monde, suis
un sniper derrière l'oeilleton du cul d'un
verre. J'vous ai dans le shaker!
Un truc de totale imprécision!



Entrain a vapeurs surpeuplées ou nul
impunit chèrement scotché à ses flacons par wagons ne redoute au terminus la bagarre.
Justicier arborant mélancolique sur le
corps le suaire mortuaire s'inflammant
le gosier d' inconvenables boissons aux
amères dégoûts d'une sobriété tombée
depuis bien longtemps à la renverse.
À ce point il reste un espoir tremens, a
fréquemment plus tard notoirement 
fracassé au pied d'un énième réverbère
maladroitement courtisé ou les soupirants vont quelques fois expirer.

Sur le chemin de l'alcool !

samedi 3 novembre 2012

PERVERTED VERSION




Luxuriant of profuse all along the

catwalk of absolute affliction.
Masters of emptiness, lords of dark
ages, heavyweights of identic matters,
entertainers intimating vindictive 
acrimony, giving elegantly the illusion
of choice.



No need to earn special approval,

the reveller rides a perverted version !

Without restraint for anything close to
death exprience, smoking guns and
crack in the ashram just like toys of
profit.
Overwelmed notorious ghosts correcting a disorder by creating a
another symtom.

No need to earn special approval,
the reveller rides a perverted version !

Nobody expresses any intense displeasure while looking from the back
room hidden by the upholestery.
Abstacted dysfunctions come to life
as strange revelations.
Riotous notes begging to optain a remedy are banned.

No need to earn special approval,
the reveller rides a perverted version !

L'OMNISCIENCE



Grands dieux en l'ailleurs ,
camisoles sous nos dogmes
De quels "Dalits" t'accuse t'on ?
Peut-être l'extase aveuglante,
la dissolution du moi ?
Est-ce l'infamie supposée de nos
5 ascètes ?
Ascètes ou plus ?
À vous les désignés de l'agonie, 
je dis ravivez vos fonctions dispensatrices en de jouissives
transgressions !
Shiva bien trouver le geste qui
insuffle les déversements de
dame nature.
Inspiratrice Kundalini érectile qui
nous prolonge et nous serpente
donner vie aux éruptions séminales!
Se libérer dans l'électricité tantrique 
que Kali ne pourrait qu'approuver.
À l'issue peut-on espérer mourir à 
l'heure de son choix ?
Pariahs dont les nécessitées internes
n'aspirent qu'au drame, gens de 
si indigentes extractions cessez de fuir
le spectre des Thugs !
Destituez vous des entrailles de
l'égalité interdite !
Quand bien même les pires cauchemars déclineraient leurs
identités libérez vos sons de leurs
joug.
Si il faut braver les rites aux incalculables infamies, se résigner 
à L'Endura ou subir L'Ordalie, sachez
trouver grâce à vos talents, épargnez
le vers accordez vous la césure.