lundi 8 octobre 2012

(LES LIENS DE PARENTHÈSES)




Arcades grandes ouvertes d'un lieu

ou des foules effervescentes ondulent.
Un des corps qui bouge, cet univers 
qui me magnétise ,cette mouvance que
tout mon être relance doit refléter la
tienne.
Froncer tête baissée, mes sillons profonds & tourmentés de la veille se 
lissent mais me rappèlent qu'aucun 
détail ne doit être négligé.
Sans doute nous est-il permis de penser que certaines contorsions
saturées de distorsions forgent la
matière entre les aversions et les
contraires.
Parmi l'ensemble des versions 
quelques unes sont eclipses solaire,
parenthèses incendiaires.
Chamades, fiévreuses moiteurs !
Cernes sans aucune solution de repli.
No EXIT! Depuis la genèse c'est ainsi
compilé.
Tragédies,choses inabouties,avortées
voire finalisées ,d'autres en stand by.
Aurores métalliques au dessus des
cannes en floraison, suivre le bitume qui dévale et serpente.
À ce jour ce souvenir me hante encore,
et ma pensée s'en retourne à toutes nos incalculables bravades.
Les grands espaces à ne jamais retrouver son haleine d'enfance se mêle à la transe des mes besoins 
d'homme. J'etais envahis d'elle a chaque seconde.
Arbres en bordure aux inégales unités 
d'usure.Une graduation particulière du
temps de parcours.
Parfois j'aurais aimé tout ce résume 
Pace à un tronc.
Desfois l'Amazonie ne m'aurait semblé 
être qu'un espace vert.
Des Hyde ou Central park de culpabilisation !
Sans parler du platane fatal mainte fois 
frôlé qu' un soubresaut de lucidité m'a 
écarté.
Des wagons aux rames etc et remords
en commun, des rituels, des décalages,un malentendu  qui tourne à 
la fausse note réveillant tout le quartier.
Des mouvements de marée qui nous
ensablent ou nous émiettent à vif.
Submerges D'amplitudes ,qui est à 
l'origine des effusions ?
Élans spontanés qui d'emblée se 
recroquevillent .L'eclosion n'aurait-elle 
qu'un leur ?


Se désemparer toujours plus que d'accoutumée, expérimenter des 

roublardises qui s'investissent dans des     liaisons aux engagements modiques .
Hôtel glauque, réceptionniste 
récidiviste aux piaules sordides abritants 
selon l'endroit solistes ou choristes qui dissimulent mal les ébats. Cloisons de
gomme arabique vautrés dans de salles draps auréolés d'analogues 
oublis aux miens.
Odeurs de tabac froid et parfum qui 
Embaume encore l'air de la pute d'il y a
une heure.
Vaste chantier que celui de la haine,un
tisonnier plongé dans les braises des 
foyers de douleurs d'une manière si 
savamment étudiée.
Chaque énergie entretien sa mythologie celle des couples n'échappant pas à la règle. Façades
bombardées de feux nourris livrées aux mines perfides de réalités mensongères étouffées d'inconséquence .
Théâtre d'après guerre qui finalise un huitième de cercle en position fermée .
Le courant d'air conforte la porte qui 
claque!

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