lundi 22 octobre 2012

INDÉPENDANCETRIQUÉ




Lire la dévastation de ceux qui n'ont

attendu après personne pour valider

leurs choix. Avancer sans filet sur d'
étroites corniches à deux doigts de la
renverse tuméfié et bouffît de la 
mémoire des chutes.

De quels délires reviens tu?
Dealeuse de plaisirs open barmaid 
en grandes pompes qui fait mousser la 
pression et rajoute des étages d'histoires
qui bandent dessinées dans la veine de
l'obélisque, et triquer.

Des ponctuations, d'étranges intermittences ou sans crier gare avec
une infinie minutie s'installe la lente
déréliction automnale des sous bois
de Tim Burton.
On aura beau protester en futiles fulgurances ou se reclure dans des
consternations silencieuses,le récit de sa propre souffrance, de tout ce temps
absorbé par l'urgence qui ne modifiera en rien notre posologie ambigüe alimentée de nécessités douteuses, en
fait le point d'orgue de tout notre drame.
Avoir été trop pyromane cramant cellules et globules supposant que l'ingratitude méritait son sursis de zénith oubliant si vite que les brasiers
ardants s'en retournent tous au carbone.
Même le plus incendiaire des talents ne
peut être épargné!

De quels délires reviens tu?
Dealeuse de plaisirs open barmaid
en grandes pompes qui fait mousser la
pression et rajoute des étages
d'histoires qui bandent dessinées dans la veine de l'obélisque, et triquer.

À tout prix élaborer le plan d'évasion, se sevrer de nos mythologies qui souffrent ne nous éparpiller en diverses
contagions.
Faire taire la nostalgie des fumées épaisses dont les moments de mélancolie nous témoignent encore par  
volutes éparses.
Faire don de sa casaque et sortir du champs de course se refuser à être l'enchère nécrosée des parieurs.

De quels délires reviens tu?
Dealeuse de plaisirs open barmaid
en grandes pompes qui fait mousser la
pression et rajoute des étages 
d'histoires qui bandent dessinées dans
la veine de l'obélisque, et triquer.

Donne-moi ma dose!!

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