mardi 30 octobre 2012

L'ÈRE DES ÉLAGAGES & DES CRISES ÉOLIENNES





Tu ne paieras jamais assez 
pour que la culpabilité t'accorde 
une dérobade.
Progéniture de Cain incisives plantés
dans l'artère les contaminations te
conduisent t'elles à te faire du mauvais 
sang?
Spirales dépressionnaires aux noms
qu'il faut payer pour se les faire, putes
d'Eole que les bourrasques ordurières 
revendiquants dans l'agonie des 
souffles une revalorisation tarifaire.
Rafales sur les flux, Wall Street dos
au mur, à la clôture, les pieds dans l'eau. Petit banquier penses-tu savoir
voler ?
Illusionistes rançonneurs drapés dans
le rouge emportés sans ascenseurs 
dans les nuages pour jouer au crétin 
de Krypton.
Passivement  attablé je mate un 
p'tit Betain s'immoler alors que dans
mon bol refroidie ma soupe de bébé.
La sphère est devant la fête accomplie !
Que d'activation séismique sur les
graphiques !
N'ayez crainte carrés V I P, rien de plus qu'un cocktail dînatoire pré-
cataclysmique.
Vous pourrez poursuivre l'orgie dans 
les entrailles de la terre.
Y'aura Guetta whole lotta of love !
Entre 2 coupes on pensera vaguement 
à l'hypothèse des conséquences de 
l'éclipse Héliocentrique.
Petits fruits de nos semences
récoltés calibrés modifiés.
Tendres extenseurs de terminaisons.
Filles et édifices abattus par hectares,
carbonisés au mieux la culture n'est
qu' élaguée !
Petites miniatures négociées entreposées comme des sachets de
dope en attente d'être coupés.
Du trafic d'organes ou d'adoption
que papa subventionne et dont le
fiston préfère s'attirer les poudres.

samedi 27 octobre 2012

Par respect pour la douleur



Toxicos du conflit,

poseurs de péages à tout les appétits!
Allons tarir les femmes fontaine 
et ternir de barrages les retenues


Petites étudiantes chaudasses

détournées de leurs cours.
Égérie du linge sale,
arme toi de paniers à crades tambours,
programmés à sec en l'absence des
mauvais tours de l'essor à rester
volontaire des comas,
par respect pour la douleur.

Filon dans la mine de flair,
implantation d'indentites capillaires
pour cougars hyperoxydees 
à qui j'offre mes salives dégripantes
et des gerbes de barbelés avant la
dérouillée du savoir fer.

Rodéo sur lavabo,
que je te degonde petite nympho,
tamponnes aux mêmes états incivils,
nez en couches salements repoudres .
Rayes le verre défoncée langue percée!
Fais une beauté à ton reflet, bandant
que m'ajuste le tir.

Égérie du linge sale,
arme toi de paniers à crades tambours,
Programmés à sec en l'absence des
mauvais tours de l'essor à rester
volontaires des comas,
par respect pour la douleur.

Oratorio pour squales,
lyrique carnage dédicacé 
aux évincés du corral,
émincés de nerfs au jus de veine,
infusés dans l'entonnoir,
des parloirs aux longues peines que
l'éventail des audaces condamne haut
et court.


C'est pas de mon ressort,

toute cette morphine vestimentaire,
l'addiction hot couture.
L'iris que la pupille à totalement éclipsée, s'offre dilatée contours
injectés aux bonnes grâces des chimies calmantes.
Les ecchymoses des revers de doses
reaiguillees telles des minuteries qu'un
pernicieux  coup de piston prêt à détoner bien au-delà de toutes trahisons ont bouchées le canal.

Égérie du linge sale,
armes toi dans ces paniers à crades
tambours,
programmés à sec en l'absence des
mauvais tours de l'essor à être 
volontaires des comas 
par respect pour la douleur.

Infernal Contact




Can't surrender my Life is a Time bomb

from à space to another and all I fill
in a day echoes like a never ending
delay.

I get deeper then I gone alone,
I'm expected in a corner or a
no man's land to pay.

In between the livings and the deads,
I hunger for what's ahead.
I don't fit in their cast,
I'm in need of Infernal Contact

Bis

I get deeper then I'm gone alone,
I'm expected in a corner 
or a no man's land to pay

mercredi 24 octobre 2012

L'ÂME SUEUR




Être en nage

de prendre ou perdre pied
dans les courts jus
des grands bassins
à  s'enfiever du sel
l'âme sueur.

Descendants speedes
d'X files d'Atlantes
qui sans crier s'égarent
en correspondances désaffectées
que trop de cernes avalisent 
Que les taquets traumatisent.

Implantés allumes cigares à l'envers,
des cataclysmes d'illuminés.
Site et ciel entoilés,
des manœuvres à gîter du Baccal
dans la suite que Boggi à mis à sac.
Quelque chose se meure au fond
d'une flaque, hier son corps épousait
le sable de la plage.

À la traîne d'un coupe gorge,
de l'appât rage  d'être trié sur
le volet et vieillir 
en diffus poisons universels
qui perlent de l'âme sueur.

Ferments aseptisés 
aux émois zig zag,
jours fériés mis au rancard,
sous scellées nanti quitté !
Pour quel fortuné vestige
la bimbo vampirise.
Un pigeon distributeur 
à résilience qui jamais
ne se volatilise.

Invisible à l'écran,
le plafond à mis le couvert.
Les ass holes du manche
en bout de piste par 1013 hecto pascal.
Reconnaître ses Thors en black!
À quoi ça sert de marteler label,
calculer la dérive d'un 
Town chippendale plein de devises
dans le string à sa décharge.

Aux abords d'âge 
que des canons dérides 
à brides abattus
écumant les jarretelles
de l'âme sueur à boulets rouge
en suintements dévastateurs.

lundi 22 octobre 2012

INDÉPENDANCETRIQUÉ




Lire la dévastation de ceux qui n'ont

attendu après personne pour valider

leurs choix. Avancer sans filet sur d'
étroites corniches à deux doigts de la
renverse tuméfié et bouffît de la 
mémoire des chutes.

De quels délires reviens tu?
Dealeuse de plaisirs open barmaid 
en grandes pompes qui fait mousser la 
pression et rajoute des étages d'histoires
qui bandent dessinées dans la veine de
l'obélisque, et triquer.

Des ponctuations, d'étranges intermittences ou sans crier gare avec
une infinie minutie s'installe la lente
déréliction automnale des sous bois
de Tim Burton.
On aura beau protester en futiles fulgurances ou se reclure dans des
consternations silencieuses,le récit de sa propre souffrance, de tout ce temps
absorbé par l'urgence qui ne modifiera en rien notre posologie ambigüe alimentée de nécessités douteuses, en
fait le point d'orgue de tout notre drame.
Avoir été trop pyromane cramant cellules et globules supposant que l'ingratitude méritait son sursis de zénith oubliant si vite que les brasiers
ardants s'en retournent tous au carbone.
Même le plus incendiaire des talents ne
peut être épargné!

De quels délires reviens tu?
Dealeuse de plaisirs open barmaid
en grandes pompes qui fait mousser la
pression et rajoute des étages
d'histoires qui bandent dessinées dans la veine de l'obélisque, et triquer.

À tout prix élaborer le plan d'évasion, se sevrer de nos mythologies qui souffrent ne nous éparpiller en diverses
contagions.
Faire taire la nostalgie des fumées épaisses dont les moments de mélancolie nous témoignent encore par  
volutes éparses.
Faire don de sa casaque et sortir du champs de course se refuser à être l'enchère nécrosée des parieurs.

De quels délires reviens tu?
Dealeuse de plaisirs open barmaid
en grandes pompes qui fait mousser la
pression et rajoute des étages 
d'histoires qui bandent dessinées dans
la veine de l'obélisque, et triquer.

Donne-moi ma dose!!

ANUNNAKI LA FAUTE?


L'électrocardiogramme donne plat et

il serait déraisonnable d'y trop penser.
Laissez vous manipuler et modifier à 
en construire des ralentisseurs après 
les ronds points.

Ne pas être dos au mur quand ils 
s'agitent de nous prendre pour contrôler nos barbotages vilains petits
connards de "Marduck" !
L'insistance lumineuse produit ses dérivés.
Déjouer les interrupteurs de "Nephilim"
en V.O !
"Elohim", je ne rentre pas en raisonnance et en dépit d'avoir eu vent
stellaire d'un possible retour, de moi
n'espérez aucune prosternation.

Anunnaki la faute?
Signs of the returning chaos from "Zaos"!

BI or not to be! Lobbies cachant sous nos pieds en zones meubles ce qui est de très cher et de sang. Dominants de la meute disséminez vos os bien à l'abrit des bâtards errants.
L'abondance prend des airs de trop plein !
Nous n'avons fait que nous mouvoir 
enchaînés à de faux espoirs en 
déambulateur.

Anunnaki la faute?
Signs of the returning chaos from 
"Zaos"!

Rutilente misogynie, la matrice Vénusienne du fond des âges changée 
en marche pied pour assoir l'embase 
de tout les assujettissements.
En "Enki", nous est il possible de croire que cette volonté vient "d'Anu"?
À moins que rien du simiesque à peine
un saut de puce d'où naissent tant de
variables en format et en longévité.
Le titanesque ne datant pas que "Dyer"!

Anunnaki la faute?
Signs of the returning chaos from
"Zaos"!

"Orion" nous droit à des "Pléiades" 
servies sur des plateaux lors de soirées
à thème de"Gizeh" au positionnement 
des astres annoncés alignés?
L'essence des cultures ne serait-elle qu'un habile maquillage?
Projets clés en main "conSumeriens".
Marqués et attendus aux tourments du grand sceau consumériste.
Varans sortis d'usine ou modèle "Ducaz" belligérants du "Shem" qui échafaudent bloc par bloc et à tout les 
niveaux de sacrificielles "Ziggurats".

Anunnaki la faute?
Signs of the returning chaos from
"Zaos"!


mardi 16 octobre 2012

PEACE OF FAKE !




Switch of the falls.

Cover the sounds by heavy warnings.
Remove the landscape,
pretend it's allright outside.
All kinds of weard paradise,
vicious deciders have built for sheep,
You might like to customise.

I don't care if they shoot me,
They ought not to miss me.
It Could just be their bravest major
act of sincerity !

Tear down the speeches of the walls,
add to your emptiness another pleasure
icon.
Be converted into evil facts so no one 
can negociate.
All your needs will reach king size.
Who the next virus you invent will 
intoxicate ?
None of us can notice how well you
disguise.
Settle down anywhere an entertaining
conflict and activate the machine guns
of benefits.
Don't Forget to encourage native funerals to be optimised!

I don't care if they shoot me.
They ought not to miss me.
It could just be their bravest major act
of sincerity !

dimanche 14 octobre 2012

SUIVI DES FOUETS




Parle moi de ces choses qui claquent,
sans maudire le maître d'œuvre 
qui t'as redessine les flancs.
Chacun a sa lanière,
se lacère fort et se fait remarquer.
Laissons la priorité aux fouets.

Encore perdu à la roulette russe,
mais j'emboite des poupées en
montagnes mécaniques.
Combien de fois m'as tu tué ?
Je suis revenu de souvenirs
qui n'avaient pas fait que passer.

Tuméfié & reclus dans les contractures
de mes somatisations désenchantées,
impossible de me dérober 
à de provocants sarcasmes.
J'harangue d'audacieuses 
et fascinantes flagellations !

Ma très chère saigne de sa plume
l'epidermique parchemin.
Dans ma très chair retranchée,
quelle est cette rage folle
qui m'a cinglée toutes voiles et
plaies au dehors.

L'élu supplicié de sanguinolantes 
conjurations, répandues d'un poussiéreux grimoire scarifié qui
le reflète.
Flétri d'hémorragies grisantes je 
m'extasie sous le joug de la note
dominante!

lundi 8 octobre 2012

Elusive Ray




What do you think you know about yourself ?
Are the soldering trades you're made of
Containing the requisites of recongnition fully assumed ?

Even the confusing desperation of a Ray has it's way !

Diversions may pretend to make you
escape from nightmares and undertake
the substance of weaknesses up to
your most credited misbehaviors.

Even the confusing desperation of a Ray has it's way !

Fading shades caught at the gates of
disaster have no ambition to stay perpetual.
Endeavours are elusively remaining !

Even the confusing desperation of a Ray has it's way !

Investigations consequently refer to
your subdued talents & virtues.
Eyries lost in the peaks of the doldrums 
endlessly irradiate wilderness.

Even the confusing desperation of a Ray has it's way !

The sincere reflect of mutual appreciation appears to be a silent emiting phenomenon ovulating from
the dephts of creation.
Unleashed improbable species are all 
around as bright eternal sinners.

Unsuitable demands get no lightening
echoes !

(LES LIENS DE PARENTHÈSES)




Arcades grandes ouvertes d'un lieu

ou des foules effervescentes ondulent.
Un des corps qui bouge, cet univers 
qui me magnétise ,cette mouvance que
tout mon être relance doit refléter la
tienne.
Froncer tête baissée, mes sillons profonds & tourmentés de la veille se 
lissent mais me rappèlent qu'aucun 
détail ne doit être négligé.
Sans doute nous est-il permis de penser que certaines contorsions
saturées de distorsions forgent la
matière entre les aversions et les
contraires.
Parmi l'ensemble des versions 
quelques unes sont eclipses solaire,
parenthèses incendiaires.
Chamades, fiévreuses moiteurs !
Cernes sans aucune solution de repli.
No EXIT! Depuis la genèse c'est ainsi
compilé.
Tragédies,choses inabouties,avortées
voire finalisées ,d'autres en stand by.
Aurores métalliques au dessus des
cannes en floraison, suivre le bitume qui dévale et serpente.
À ce jour ce souvenir me hante encore,
et ma pensée s'en retourne à toutes nos incalculables bravades.
Les grands espaces à ne jamais retrouver son haleine d'enfance se mêle à la transe des mes besoins 
d'homme. J'etais envahis d'elle a chaque seconde.
Arbres en bordure aux inégales unités 
d'usure.Une graduation particulière du
temps de parcours.
Parfois j'aurais aimé tout ce résume 
Pace à un tronc.
Desfois l'Amazonie ne m'aurait semblé 
être qu'un espace vert.
Des Hyde ou Central park de culpabilisation !
Sans parler du platane fatal mainte fois 
frôlé qu' un soubresaut de lucidité m'a 
écarté.
Des wagons aux rames etc et remords
en commun, des rituels, des décalages,un malentendu  qui tourne à 
la fausse note réveillant tout le quartier.
Des mouvements de marée qui nous
ensablent ou nous émiettent à vif.
Submerges D'amplitudes ,qui est à 
l'origine des effusions ?
Élans spontanés qui d'emblée se 
recroquevillent .L'eclosion n'aurait-elle 
qu'un leur ?


Se désemparer toujours plus que d'accoutumée, expérimenter des 

roublardises qui s'investissent dans des     liaisons aux engagements modiques .
Hôtel glauque, réceptionniste 
récidiviste aux piaules sordides abritants 
selon l'endroit solistes ou choristes qui dissimulent mal les ébats. Cloisons de
gomme arabique vautrés dans de salles draps auréolés d'analogues 
oublis aux miens.
Odeurs de tabac froid et parfum qui 
Embaume encore l'air de la pute d'il y a
une heure.
Vaste chantier que celui de la haine,un
tisonnier plongé dans les braises des 
foyers de douleurs d'une manière si 
savamment étudiée.
Chaque énergie entretien sa mythologie celle des couples n'échappant pas à la règle. Façades
bombardées de feux nourris livrées aux mines perfides de réalités mensongères étouffées d'inconséquence .
Théâtre d'après guerre qui finalise un huitième de cercle en position fermée .
Le courant d'air conforte la porte qui 
claque!

mercredi 3 octobre 2012

SIGNIFICANT DEAD END



Comment a ce stade, ne pas céder à 
l'envie de se vomir.
Selon les qualificatifs en conformités 
avec les usages, je lançais un dédaigneux revers de caustique 
aux automates du commun.
Ça "ISLAY" très bien au fond de mon
verre côtoyant des brumes concubines
des tourbières.

Fadaises abruptes à la pâle texture
d'un songe d'automne, au pieds 
desquelles Newton dans son infinie
verve discontinue l'humanité.
Des os s'entrechoquent & s'assortissent au ressac.

Could you love me for the shame I
inspire you !
Could you just as well be 
the most SIGNIFICANT DEAD END
of my search.

Lumière qui précède le son,
"Riders of the Storm" à vu ma vie
d'une traite.
Banane flambée par les 2 bouts, j'ai 
multiplié des incantations occultes
pour être convaincu des O G M.
Qu'ils m'en fasse émerger un 3ème.
Toutes ces cartes m'ont paru indéchiffrables, latitudes incertaines 
et restaurants aux denrées improbable ments terrienne.

Vainement ou a raison j'ai soutenu le
regard du vice et avec aisance personnifié l'interdit sous mes plus
vénéneux attraits, bravant les tendances réprobatrices exprimants
mieux que l'inné ces gens confrontés
à leurs limites.

Could you love me for the shame
I inspire you!
Could you just as well be the most 
SIGNIFICANT DEAD END 
of my search.

Depuis se multiplient les arrêts au stand.
Mes colombages, mes bardages et
autres diverses architectures sont
rendues lépreuses.
Jamais je n'ai convole en injuste négoce !
Envahis d'un glacial sentiment qui me signifie de mettre un terme à l'élan et
ainsi oublier les femmes luisantes
comme des plumes de corbeau.
Que reste t'il de ces prononciations
parfumées d'impossibles tropiques ?

Aussi discrète que la pire des salopes
jarretelles à l'air dans une église ,j'ai abusé mon palpitant hors juridiction !
Pour des saintes salaces telles
Isabelle Huppert divine dans "Ma Mère"
mêlant le délire au désir en prenant des
des pièces maîtresses reines de de 
beauté et d'absences.

Could you love me for the shame
I inspire you !
Could you just as well be the most
SIGNIFICANT DEAD END 
of my search.

lundi 1 octobre 2012

Incartade


Échappée d'une fiction,

l'indefinissable menace se hazarde.
Venue faire une halte dans mon
fantasme, tout paraît être d'une précision irréelle .
Sous des lunaisons en proies aux
pleinitudes qui suffisent à faire oublier
les lois de fée électricité allaient s'entre-
tenir des causes communes aux torpeurs lascives.
Redistilons plus fort nos alcools profonds et étanchons notre soif
immodérée des dangers de la pénombre .
Il eu fortement été possible dans d'autres circonstances de se tenir en 
d'analogues contagions sur une toile
de  Watteau.
Un gris violacé angoissant qui aurait
embrasé le ciel éteint auxquelles quelques éparses trouées blanches filtrantes d'inquietantes lumières en
prélude aux déchaînements adultères
Promettrait certainement de s'abattre .
Comment me disculper d'elle ?
Du point culminant qui abrite l'aire
libertine, je surplombais son dos humant
dans les plus infimes nuances les fragrances de ses félines phéromones.
Mon corps gorgé de lubricité se lubrifiait dans le sien.
Elle était cet absolu que je remplissais,
son obligé de tout les accès & excès 
sans avoir à craindre le moindre des
mois.
Loin en contrebas derrière un alignement de lampadaires au comble
de ces moments aux sons atténués,
d'esseulées tonalités effilochées par la brise retentissaient de cynismes imbibés.
La ville est à nos pieds ma belle, pesais-je ajustant mes élans au creux de ses courbes .
Je ne me tenais plus à carreau que d'un coin du cœur tout le reste n'était 
plus voué qu'à de délivrantes exaltations bestiales.
À cet instant précis si pour quelques raisons apocalyptiques inexpliquées je devais me départir du fil de l'existence je ne souhaiterais pour rien
au monde changer de mort.
Lâche tes jouissives doléances, qu'elles 
soient aspirées conjuguées aux bruissements du cuir dans les profondeurs silencieuses.
Confondus dans nos sueurs nous
puons le sexe !