un jour à la verticale de la lune
j’ai décidé
d’attaquer venus par la face nord
un jour que j’errais dans les brumes
j’ai dérivé
a la recherche d’un autre port
j’ai consommé le moindre mal
repris ma route sans un regret
j’ai toujours le sommeil bancal
quand le doute apparaît
un jour que j’étais en manque de thune
j’ai décidé
de braquer la banque de conquistadors
un jour que j’étais en manque de plume
j’ai réalisé
que les poules qui m’inspirent sont au dehors
j’ai rançonné une poignée de capital
repris ma route laissant les billets
j’aime toujours les femmes fatales
dans les draps où tu t’oubliais
un jour que j’étais dans les dunes
j’ai décidé
d’enflammer le virus du diable au corps
un jour que je naviguais en amertume
j’ai tiré
dans le dos de l’ironie du sort
j’ai consumé plein de chacals
repris ma route sans barillet
j’ai toujours la gâchette qui s’emballe
quand ton fantôme apparaît
Bonjour Grand Créateur.....je n'ai malheureusement pas le temps de te voir mais de te lire, oui !!!! quelle chance et quel bonheur...Merci ! c'est dans Border Line que je me retrouve et ce sont à travers tes écrits que je retrouve l'unique personne que tu es !!!! Bises et à bientôt. Prends soin de toi.
RépondreSupprimerSylvie (exmazaka)