samedi 15 décembre 2012

MON MOT



Lecteurs, réguliers & occasionnels qui
avez pénétrés mes errances je vous
remercie.
Toutes ces énergies, ces électricités que je côtoie et croise, celles si chères 
a mon cœur vivantes ou rendues à l'univers anonymes ou légendaires,
encore merci.
Tapis dans l'ombre que je suis,votre amour reste ma substance.
Grand merci à mon frère de son Raynald !
Ne soyez pas alarmistes, see u en 2013.
Restez en résonance avec vous-mêmes.

Votre obligé.

mardi 11 décembre 2012

SATIRE À VUE




Tire un trait au marqueur génétique,

décime moi, le vulgaire phénomène 
de foire qui t'hachure sur l'horreur que
ce n'est qu'affaire de graphiques.
Vas-tu crever à l'essai?
Congelé une poignée de génération
dans un sarcophage pour resurgir 
paramétre des décombres du jour 
d'après.
Zoophile a la niche ! Prétentieux orfèvre 
en faux et usage de faux dans la gamelle.
Seigneur du pesticide, 
baiseur de blondeurs transgéniques,
que de la paille sans tête.
Mauvaise herbe qui se paye un gazon
coupé aux ciseaux par des millions de
mignons.
Ah ! La compétitivité des entreprises !
Feu ! Satire a vue.
Placer des pointillés, délimiter la ride
pour caricatures parodisiaques qui 
rétorquent au scalpel en incisions
alarmistes.
Alien que pourra! Entonnent Igor & Grichka. 
Rechargez la pièce petits servants et
honnorez le sentimentalisme des pointeuses.
Feu ! Satire a vue.
Rasés de près, satellites & filatures .
Passer sous la coupe de ces fratries 
a filiation unique, géniteurs névrosés
camés & armés jusqu'aux dents.
Bipède miniature appareillé pour la
dérive sur un caprice flottant avec que
des amis numériques.
Petit geek psychotique en salement 
quelques clicks.
Tout l'attrait de ces cellules résidentielles a 2 garages.
Il semblerait avéré qu'en certaines
contrées à pensées limitées le président drive sur le fareway to heaven avec le grand créateur.
Au club house devant un 2000ans
d'âge ils envoient conflits, virus et 
piqûres de rappel au reste du monde.
Selon les dires le tout puissant porte
mieux le Stetson que la barbe,j'en sais rien
j'le connais pas !
Feu! Satire a vue.
Jolies princesses, nos moitiés supposées dont on fini par soupçonner 
l'existence que par leurs compulsives
dépenses.
S'installe dans le king size bed comme 
une distance aucuns faux plis sur le 
satin glacé, et la tâche ne proviens pas
de ma semence.
Oh ! Ma splendeur adorée, le 3ème œil
n'est pas qu'un pendentif et la tendance 
serait plutôt portée sur le 3ème sein.
Les magnétiques amants trop bien inspirés déraillent à la carte.
(Ma chérie ! Tu as fait du hors piste et
au pied du nez il t'en reste un peu !)
Prends mon sésame doré au possibilités illimitées.
Moi qui du denier passe toujours en premier, tel L'Adonis des liquidités pour
petasses de tout acabit dans la penderie.
Feu! Satire a vue.

LE TRAVAIL À LA CHIENNE




Tout s'étend à perte d'abus,
et s'abandonne à l'illusion
de sa puissance !
Ah ! Le charme du vétuste,
habitats insalubres aux 
balles bien logées.
À l'étage inférieur gémissaient 
les déroutes.
Derrière de frêles cloisons 
les obsessions grandissaient 
émargeant du mystère.

Dans la liesse des machines,
dans les liasses assassines,
j'avais touché la rime.
Prompt a la hargne,
le travail à la chienne !

À mesure que je te parcourais,
se dérobaient unes à unes
toutes mes fascinations.
Crépitent les intentions du regard
a la faveur de nos nuisances !
L'acuité qui s'incruste,
chambres exiguës,
pratiques ambigües,
en mouvements synchrones,
exempts de tout hasard.

Dans la liesse des machines,
dans les liasses assassines,
j'avais touché la rime.
Prompt à la hargne,
le travail à la chienne!

Tout au long de tes muettes
majestés,
ces fumées lentes qui te frôlent
le visage figé et pensif.
Devant l'escalier de secours,
la déchéance rémunérée 
cache t'elle une vérité 
en cuir belle à craquer!
Est-ce la douleur 
qui frappe a ta porte?

Dans la liesse des machines,
dans les liasses assassines,
j'avais touché la rime.
Prompt à la hargne,
le travail à la chienne!

dimanche 2 décembre 2012

JÉSUITES PÈRE & FILS




Faudrait que mère soit tenue au couvant!
À l'ouverture de cette demi chaste
a l'homme, qu'on ne peut rester 
indienne indemme. 
Encense le mouvement automatique 
des canons du grand horloger.
Viens te loger dans la chambre sous
l'œil du percuteur et le mensonge de 
sa détente en enfer.
Tête baissée genoux à terre se tenir
lacéré barreaux aux fenêtres du poste
frontière des peurs.
Un courant souffla gelé nous parcourir
de lézardes, a l'agent de comptoir je
réclame mes bagages en soutane.

Viens serpenter sous l'ombre empêchée, garde la ligne bien inspirée.
Oubli flagrant et petit Delhi toi qui 
païen pour attendre!
Parlons des choses qui flashent aux
hérétiques déclics!
Prends tes aises site on my gode!

Jésuites père & fils
Jésuites père & fils

Sanguinaires croisades à convertir et
légaliser le massacre des ignorants,
n'oublier pas avant de s'étaler en croix
de clouer tout une bonne Foi au vieux 
Rome.
Belles dégaines blêmes au rabais y 
enferment reliques qui prélassent sous
les voûtes de liturgies malsaines.
Barrières végétales libérant des accents ou la main occulte s'abat,
prêter l'oreille, veiller les volutes qui
envahissent les airs de cimes reculées.
Quel beau spectacle interrompu à
mi-scène sous une lunaison pleine
d'extrêmes impropres aux lassantes
récurrences missionnaires.
Brulons nous lécher par ces flammes
qui si vénéneuses damnent.
Elles sont de sortilèges à s'exhiber en
balai.
Sur le carnet de Bâle, seul le Big coq
baise a l'ouverture de la chasse aux sorcières.

Viens serpenter sous l'ombre empêchée, garde la ligne bien inspirée.
Oubli flagrant et petit Delhi toi qui 
païen pour attendre!
Parlons des choses qui flashent aux
hérétiques déclics!
Prends tes aises site on my gode!

Jésuites père & fils
Jésuites père & fils

Allons se soulager dans la femme de
l'inconnu!

L'INCONNAISABLE DES DUNES




Se croisent des traces d'inconnus 
dans les absences de nos étreintes.
Aspirés par la foule du bruit, victimes
sous hypnose des besoins, toutes
ces images ou on s'entête 
placent un contraste sur nos têtes.
L'ombre aurait t-elle moins les dents
longues? 
Certaines choses doivent disparaître,
s'estomper en se floutant de tout
a mesure que s'additionnent les pas.
Il y a comme une crue qui me brouille 
la vue surgit de mes plus insupposes
recoins.
Tamisé sur tout mes grains, je sens 
se dévoiler tout mes avants.
Toute cette geologie empreinte 
d'effondrements de caprices de mouvements d'adaptations insensées.
Je suis ce monticule qui migre une 
figure qui 100visages.
Un grand rift au milieu du front et dans 
le lointain dans la brume de chaleur
des contours féminins drapés du labeur
des insectes, un étendard mouvant flottant aux couleurs du désir.
A ma surface a séjourné tant d'adondance, inutile de trop creuser
le béton n'est pas profond.
Que coffre t'il de bon?
Cadences aux allures carencées.
Ainsi ma course s'interrompt aux 
pieds des remblais. 

lundi 26 novembre 2012

EXIL INTÉRIEUR



Fuir précisément, comme une bourrasque de l'aube chargée 

en lacrymalitees nuageuses.
Se volatiliser en cendres
dépouillé par l'émigration du froid.
Se fondre par-delà des lagunes
bordées de marais inquiétants
dont il faudrait a tout prix s'éloigner.
Se sentir pénétré par ces brumes
rampantes.
Le vent du lest gifle le poids mort
implacable, sans pitié pour ces
disparus sans avoir été pleinement 
exaucés.
Anonymes aux tourments qui cohabitent mais qui s'ignorent,
au moindre essoufflement d'horizon
qu'il nous semblait avoir devancé,
nous guette un faux rythme une 
syncope de questions sans réponses
abandonnée en chemin.
À des centaines de mètres du sol
s'érigent les verticalitées du dit progrès 
qui miroitantes de suffisance toisent
a leurs pieds les agonies ancestrales.
Gargouilles, meurtrières mordez la 
poussière.
Quoi que vous fassiez, il vous sera
impossible de distancer vos ombres.
La réalité environnante passe sans
ménagement de la pitrerie au grotesque et bien souvent chez nous autres créatures passagères, petites
mèches en quête de flammes aux
brasiers les plus sordides.
N'allez pas révéler votre sommeil, cette
part de vous a langue bifide.
La nature est une bête qui dévore ses
propres enfants !
Comment dévisager le silence ?
Comment dévitaliser les racines de la
menace?
Particule d'écorce,
goutte de vague,
grain de sol,
brisure de souffle en exil.
L'éternité avait-elle signée sa toile?

dimanche 25 novembre 2012

KROKODIL JUNKIES





Ces citées fantômes ou les désaveuglés en manque de chemins
d'enfer s'égarent aux wagons qui du
rouge de naguère ont tournés morts
de rouille.
Sur la voie fêlée d'eraillements totalitaires à répétition s'égosille 
la déraison d'état, transfuge du
bacchamalsaint empire.
Plus de roubles dans les poches de
l'ordre public !
Pas de stups en heures sup,
mais on va s'occuper de vodka!
Vendanges tzardives.

Krokodil junkies !
Krokodil junkies !

Viens chez Igor te défaire la peau.
Voir la vie en nécrose à effets
dans un maelström d'une montée 
desomorphine.
Rincés de tout et sauriens,
un programme de lavage trop varan !
Le vaccin très orthodoxe,
la solution codée innée !

Krokodil junkies !
Krokodil junkies !

Qu'est ce que ça Dun...dee en Sibérie ?
La tribut des Jivagos a t'elle les crocs ?
Aller replicants volontaires à peine plus
de 1000 jours à gangrèner le sablier.
Aiguillés du trou au cratère par l'ersatz 
de la super héroïne.
N'est ce pas merveilleux shootés sans 
jamais être assez flashes de tomber sur un os !
Le derme du voisin est toujours plus vert !

Krokodil junkies !
Krokodil junkies !

AN EGO AGO




Used to wander through time like
a speedball shattered in trouble
glazing.
Maybe I thought I wasn't dead enough!
Maybe I thought I wasn't dead enough!

An ego ago!
An ego ago!

Alliterations of nasty pervertions
Could things get any worst?
A deranging defilement of a minor,
sorry it's your daugther your honnor.
Glaucous deals are sold far better
than ordinary circumstances.

Compliance for internal defecations
and all the fucking mystical desperations before dawn, all swallowed by the lack of expectations.

An ego ago!
An ego ago!

Some harmonics are more divined 
than heard.
Satraps of my kind will just point the
forefinger towards the unknown pretending they switch on sparkles 
in the empty space.

An ego ago!
An ego ago!

The black dwarf is back!
The black dwarf is back!

Dystopian outcomes will murder the request.
Dystopian outcomes will murder the
request.

An ego ago!
An ego ago!



Used to wander through time like
a speedball shattered in trouble
glazing.
Maybe I thought I wasn't dead enough!
Maybe I thought I wasn't dead enough!

An ego ago!
An ego ago!

Alliterations of nasty pervertions
Could things get any worst?
A deranging defilement of a minor,
sorry it's your daugther your honnor.
Glaucous deals are sold far better
than 

lundi 19 novembre 2012

L'AIR REPTILE



L'outrecuidance sortie de mauvais pas

des retours de campagne.
Ça et là gisent Lazyges mis à bas lanciers légendaires aux marches des
steppes ou Trajan de lésions & de colonnes ornementées de charges héroïques qui délivrent  les entrailles 
au fil de l'âme aux sonorités béantes d'un métallique Rock "So" lent !
Dernier carré Dace Bruce aux cartes brouillées perméables aux Transylvanitees s'abattant en félines
averses griffantes et au temps corrosives sur les plastrons écaillés.
Un echequier aux aboie que cash les guerriers paritaires Lézards matent.

L'invité de mes infractuositées,
j'ai identifié l'abomination!
Dans la perdition ascensionnelle 
de verticalitées Lucifériennes 
des monts Marasmes l'inserpantin 
dévisse trahi par son versatile python.

Aux premières loges du carnaval Quasar, la même ou le peintre possédé 
d'éblouissements ahuris s'avouerait vaincu.
Impossible d'écrire le portrait un telle luminescence venue d'un si lointain 
saumâtre autour de laquelle gravite un
sinistre silhouette qui égrène l'acuité de
l'espace temps.
Serait t'il temps d'aller se noyer dans les fluides de clartés fantomatiques ?
Peut être en fuite aspiré par le fulgurant "Effet Néant" , ce flegmatique vide ordure à matière crevassée d'indifférence antigravitationelle.

Constellé de toiles défilantes éclaboussées en séries par "la corne à muses" quadrillée au plus tard tant la crainte du sale clan est grande.

L'invité de mes infractuositees,

J'ai indentifiee l'abomination !
Dans la perdition ascensionnelle 
de verticalitées Lucifériennes 
des monts Marasmes l'inserpantin 
dévisse trahi par le versatile python.



Entortillé dans mon vivarium, capitonné en état de veille, le peu d'effort pour lesquels je m'adonne n'a pas été que
de me reconnaître constrictor.
Mes étreintes ne désignent pas que
"Mi Amor"!
Luisant élève en dérangeantes matières, j'avoue sans mal mon aversion vipérine.
Vies bien rongées à moi petite tu souris
et bien avant de se perdre de mue ma nana condamnée à être broyée sache que je ne me limiterais pas Cobra.
Suspendu aux branches d'anciennes
ramifications érotiques indiennes, peu
m'importe si au loin tu Naja le contre courant se resserre. Dans l'hypnothese
charmeuse charmée tu es déjà à moi.

samedi 17 novembre 2012

POLYCHROMATISÉ



Parle moi de tes retours d'aridité,
dis moi comment tu as tangué entre
les paradoxes.
Combien de fois t'es tu prosterné au 
pieds de ta souffrance ?
Combien de phrases ou la dernière 
virgule sentait la mort !

Fred Astaire des neuroleptiques &
sédatifs qui te pénètre par toutes tes
Périphéries dont les claquettes trahissent depuis le lointain la suffisance des biens portants.

Entendez moi ! Je suis une divagation pas une idée reçue.
J'appartiens aux destinations dont les
consonnances imagent les atmosphères !

Chaque nouvelle génération prétend
se réapproprier le vice.
Telle une tournure inédite d'Hugo réinventer le génie.
Ce ne sont que des réalités altérées.

En parcourant les murs autour de moi
je prenais la pleine mesure des intentions de de l'humanité, étiquetteter, parquer et mentir !
Il me fallait rester ceintrée dans cette
appartenance a mon style. Ma seconde
peau.

Mes doutes avaient connu à la fois 
tant d'horizons, tant de sillages. Certains m'avaient tendus les bras d'autres haï ou pleurés.
Toute illusion n'est qu'un épais brouillard qui se prétend nuageux, en
somme que de la fumée.

Le puceau avait t'il nommé les contours
de sa fiction?
La naïveté était t'elle sortie du bordel?
Inanimé dans la pleinitude du désir accomplit, j'entendais un mensonge tomber dans une oreille digne.
Sans le soupçonner et bien loin de penser qu'il serait livré à son dégoût le naïf propageait une religion.

samedi 10 novembre 2012

LA CONSCIENCE DES GOUTTES




Assister au tremblement de l'ombre 
avoir l'impression que l'incandescence met le feu à bien plus qu'une cigarette 
quand je te contemple.

Laisser les choses accomplir leur
courbe, espérer du retard à tout les
vols et quand fatigué de l'extase des
fantasmes se fondre, se raréfier,
effacer ses contours en pensant à 
l'animal qui dévore le lendemain.

Étendu sous un plafond ordinaire terne
et opaque la cohue nocturne des grandes mégapoles reflète les intermittences des avenues en contrebas.

Quelle sorte d'alchimie confère à une
senteur son pouvoir ?
Quelles intonations nous récupèrent en
totale érosion ?
La plaine d'effondrement des uns ou 
l'élargissement du lit des autres.

Les prédictions précédant mes démons
me conduisent a emprunter des dédales de bourrasques aux transversalités peu engageantes.
Être récupéré par l'ennemi d'antan 
néanmoins je laisse l'effet s'épanouir 
en moi.

Crois-tu en la longévité des choses
tapageuses ?
Ces parties d'angoisse qui inversent le sens de la marche des aiguilles.
Quelles intrusions redoute tu le plus ?
Sous la surface la conscience des gouttes s'estompe.

FLYING INSTINCT



After the fall of a dream,
when a whisper turns into a scream
and the tale becomes a scene
of my desperate life I've allready seen.

Remember I've got instinct,
and u have style !
We could stay here in the space of
a second for a while.

And nothing instead can stay clear
in this falling appart movie where
I'm acting.

I can tell u mister it's all plastercine
and everything changes into
a submarine, in this unable land 
of strange casting.

Remember I've got instinct,
and u have style !
We could stay here in the space of
a second for a WHILE !

For a WHILE! For a WHILE !

U've got style.

mercredi 7 novembre 2012

LE CHEMIN DE L'ALCOOL




Disconcordances aux déboires 
imbibés.
Entre la cause et l'effet, une telle
sensation d'inhabite au petit matin.
Entre le tonneau et l'écume,
l'indécence paranormale colle !
Même si il est de Banner, 
je suinte déjà la colère.
Encore m' éprendre de rayons gama,
G T presque vert livide de manque.

Sur le chemin de l'alcool !



Allé juste un p'tit Captain Sky histoire de cribler le zingue et monter par 
palier troubler l'ethylitude de croisière.
Après j'me barre en vrille!
C'est depuis quand que ma tremblote en rebord d'elle c'est calmée!
Cocktail dans le cockpit, juré piqué,
crashe, tomber en feuille morte et se perfuser au bon groupe sangria.
Faudrait pas que je m'y prenne comme
un manche!

Sur le chemin de l'alcool!

Pleins phares injectés,
Foie nécrosé, j'ai bu au rebut de tout
et je n'ai jamais décru en rien!
Serait-il deja fréquemment onze heure?
Ça m'a fait le coup hier!
Faut que je m' étende jusqu'au p'tit jaune de doseur Ricard.

Sur le chemin de l'alcool!

Encore un p'tit canon, faut qu'elle arrête
son char, me laisser lui avaler la chenille à cette petite Mescaline!
À! Cette foi je suis bien blindé.
On risquerait de me décerner les plus
plus hautes distillations.
Méfiez vous je bois tout le monde, suis
un sniper derrière l'oeilleton du cul d'un
verre. J'vous ai dans le shaker!
Un truc de totale imprécision!



Entrain a vapeurs surpeuplées ou nul
impunit chèrement scotché à ses flacons par wagons ne redoute au terminus la bagarre.
Justicier arborant mélancolique sur le
corps le suaire mortuaire s'inflammant
le gosier d' inconvenables boissons aux
amères dégoûts d'une sobriété tombée
depuis bien longtemps à la renverse.
À ce point il reste un espoir tremens, a
fréquemment plus tard notoirement 
fracassé au pied d'un énième réverbère
maladroitement courtisé ou les soupirants vont quelques fois expirer.

Sur le chemin de l'alcool !

samedi 3 novembre 2012

PERVERTED VERSION




Luxuriant of profuse all along the

catwalk of absolute affliction.
Masters of emptiness, lords of dark
ages, heavyweights of identic matters,
entertainers intimating vindictive 
acrimony, giving elegantly the illusion
of choice.



No need to earn special approval,

the reveller rides a perverted version !

Without restraint for anything close to
death exprience, smoking guns and
crack in the ashram just like toys of
profit.
Overwelmed notorious ghosts correcting a disorder by creating a
another symtom.

No need to earn special approval,
the reveller rides a perverted version !

Nobody expresses any intense displeasure while looking from the back
room hidden by the upholestery.
Abstacted dysfunctions come to life
as strange revelations.
Riotous notes begging to optain a remedy are banned.

No need to earn special approval,
the reveller rides a perverted version !

L'OMNISCIENCE



Grands dieux en l'ailleurs ,
camisoles sous nos dogmes
De quels "Dalits" t'accuse t'on ?
Peut-être l'extase aveuglante,
la dissolution du moi ?
Est-ce l'infamie supposée de nos
5 ascètes ?
Ascètes ou plus ?
À vous les désignés de l'agonie, 
je dis ravivez vos fonctions dispensatrices en de jouissives
transgressions !
Shiva bien trouver le geste qui
insuffle les déversements de
dame nature.
Inspiratrice Kundalini érectile qui
nous prolonge et nous serpente
donner vie aux éruptions séminales!
Se libérer dans l'électricité tantrique 
que Kali ne pourrait qu'approuver.
À l'issue peut-on espérer mourir à 
l'heure de son choix ?
Pariahs dont les nécessitées internes
n'aspirent qu'au drame, gens de 
si indigentes extractions cessez de fuir
le spectre des Thugs !
Destituez vous des entrailles de
l'égalité interdite !
Quand bien même les pires cauchemars déclineraient leurs
identités libérez vos sons de leurs
joug.
Si il faut braver les rites aux incalculables infamies, se résigner 
à L'Endura ou subir L'Ordalie, sachez
trouver grâce à vos talents, épargnez
le vers accordez vous la césure. 

mardi 30 octobre 2012

L'ÈRE DES ÉLAGAGES & DES CRISES ÉOLIENNES





Tu ne paieras jamais assez 
pour que la culpabilité t'accorde 
une dérobade.
Progéniture de Cain incisives plantés
dans l'artère les contaminations te
conduisent t'elles à te faire du mauvais 
sang?
Spirales dépressionnaires aux noms
qu'il faut payer pour se les faire, putes
d'Eole que les bourrasques ordurières 
revendiquants dans l'agonie des 
souffles une revalorisation tarifaire.
Rafales sur les flux, Wall Street dos
au mur, à la clôture, les pieds dans l'eau. Petit banquier penses-tu savoir
voler ?
Illusionistes rançonneurs drapés dans
le rouge emportés sans ascenseurs 
dans les nuages pour jouer au crétin 
de Krypton.
Passivement  attablé je mate un 
p'tit Betain s'immoler alors que dans
mon bol refroidie ma soupe de bébé.
La sphère est devant la fête accomplie !
Que d'activation séismique sur les
graphiques !
N'ayez crainte carrés V I P, rien de plus qu'un cocktail dînatoire pré-
cataclysmique.
Vous pourrez poursuivre l'orgie dans 
les entrailles de la terre.
Y'aura Guetta whole lotta of love !
Entre 2 coupes on pensera vaguement 
à l'hypothèse des conséquences de 
l'éclipse Héliocentrique.
Petits fruits de nos semences
récoltés calibrés modifiés.
Tendres extenseurs de terminaisons.
Filles et édifices abattus par hectares,
carbonisés au mieux la culture n'est
qu' élaguée !
Petites miniatures négociées entreposées comme des sachets de
dope en attente d'être coupés.
Du trafic d'organes ou d'adoption
que papa subventionne et dont le
fiston préfère s'attirer les poudres.

samedi 27 octobre 2012

Par respect pour la douleur



Toxicos du conflit,

poseurs de péages à tout les appétits!
Allons tarir les femmes fontaine 
et ternir de barrages les retenues


Petites étudiantes chaudasses

détournées de leurs cours.
Égérie du linge sale,
arme toi de paniers à crades tambours,
programmés à sec en l'absence des
mauvais tours de l'essor à rester
volontaire des comas,
par respect pour la douleur.

Filon dans la mine de flair,
implantation d'indentites capillaires
pour cougars hyperoxydees 
à qui j'offre mes salives dégripantes
et des gerbes de barbelés avant la
dérouillée du savoir fer.

Rodéo sur lavabo,
que je te degonde petite nympho,
tamponnes aux mêmes états incivils,
nez en couches salements repoudres .
Rayes le verre défoncée langue percée!
Fais une beauté à ton reflet, bandant
que m'ajuste le tir.

Égérie du linge sale,
arme toi de paniers à crades tambours,
Programmés à sec en l'absence des
mauvais tours de l'essor à rester
volontaires des comas,
par respect pour la douleur.

Oratorio pour squales,
lyrique carnage dédicacé 
aux évincés du corral,
émincés de nerfs au jus de veine,
infusés dans l'entonnoir,
des parloirs aux longues peines que
l'éventail des audaces condamne haut
et court.


C'est pas de mon ressort,

toute cette morphine vestimentaire,
l'addiction hot couture.
L'iris que la pupille à totalement éclipsée, s'offre dilatée contours
injectés aux bonnes grâces des chimies calmantes.
Les ecchymoses des revers de doses
reaiguillees telles des minuteries qu'un
pernicieux  coup de piston prêt à détoner bien au-delà de toutes trahisons ont bouchées le canal.

Égérie du linge sale,
armes toi dans ces paniers à crades
tambours,
programmés à sec en l'absence des
mauvais tours de l'essor à être 
volontaires des comas 
par respect pour la douleur.

Infernal Contact




Can't surrender my Life is a Time bomb

from à space to another and all I fill
in a day echoes like a never ending
delay.

I get deeper then I gone alone,
I'm expected in a corner or a
no man's land to pay.

In between the livings and the deads,
I hunger for what's ahead.
I don't fit in their cast,
I'm in need of Infernal Contact

Bis

I get deeper then I'm gone alone,
I'm expected in a corner 
or a no man's land to pay

mercredi 24 octobre 2012

L'ÂME SUEUR




Être en nage

de prendre ou perdre pied
dans les courts jus
des grands bassins
à  s'enfiever du sel
l'âme sueur.

Descendants speedes
d'X files d'Atlantes
qui sans crier s'égarent
en correspondances désaffectées
que trop de cernes avalisent 
Que les taquets traumatisent.

Implantés allumes cigares à l'envers,
des cataclysmes d'illuminés.
Site et ciel entoilés,
des manœuvres à gîter du Baccal
dans la suite que Boggi à mis à sac.
Quelque chose se meure au fond
d'une flaque, hier son corps épousait
le sable de la plage.

À la traîne d'un coupe gorge,
de l'appât rage  d'être trié sur
le volet et vieillir 
en diffus poisons universels
qui perlent de l'âme sueur.

Ferments aseptisés 
aux émois zig zag,
jours fériés mis au rancard,
sous scellées nanti quitté !
Pour quel fortuné vestige
la bimbo vampirise.
Un pigeon distributeur 
à résilience qui jamais
ne se volatilise.

Invisible à l'écran,
le plafond à mis le couvert.
Les ass holes du manche
en bout de piste par 1013 hecto pascal.
Reconnaître ses Thors en black!
À quoi ça sert de marteler label,
calculer la dérive d'un 
Town chippendale plein de devises
dans le string à sa décharge.

Aux abords d'âge 
que des canons dérides 
à brides abattus
écumant les jarretelles
de l'âme sueur à boulets rouge
en suintements dévastateurs.

lundi 22 octobre 2012

INDÉPENDANCETRIQUÉ




Lire la dévastation de ceux qui n'ont

attendu après personne pour valider

leurs choix. Avancer sans filet sur d'
étroites corniches à deux doigts de la
renverse tuméfié et bouffît de la 
mémoire des chutes.

De quels délires reviens tu?
Dealeuse de plaisirs open barmaid 
en grandes pompes qui fait mousser la 
pression et rajoute des étages d'histoires
qui bandent dessinées dans la veine de
l'obélisque, et triquer.

Des ponctuations, d'étranges intermittences ou sans crier gare avec
une infinie minutie s'installe la lente
déréliction automnale des sous bois
de Tim Burton.
On aura beau protester en futiles fulgurances ou se reclure dans des
consternations silencieuses,le récit de sa propre souffrance, de tout ce temps
absorbé par l'urgence qui ne modifiera en rien notre posologie ambigüe alimentée de nécessités douteuses, en
fait le point d'orgue de tout notre drame.
Avoir été trop pyromane cramant cellules et globules supposant que l'ingratitude méritait son sursis de zénith oubliant si vite que les brasiers
ardants s'en retournent tous au carbone.
Même le plus incendiaire des talents ne
peut être épargné!

De quels délires reviens tu?
Dealeuse de plaisirs open barmaid
en grandes pompes qui fait mousser la
pression et rajoute des étages
d'histoires qui bandent dessinées dans la veine de l'obélisque, et triquer.

À tout prix élaborer le plan d'évasion, se sevrer de nos mythologies qui souffrent ne nous éparpiller en diverses
contagions.
Faire taire la nostalgie des fumées épaisses dont les moments de mélancolie nous témoignent encore par  
volutes éparses.
Faire don de sa casaque et sortir du champs de course se refuser à être l'enchère nécrosée des parieurs.

De quels délires reviens tu?
Dealeuse de plaisirs open barmaid
en grandes pompes qui fait mousser la
pression et rajoute des étages 
d'histoires qui bandent dessinées dans
la veine de l'obélisque, et triquer.

Donne-moi ma dose!!

ANUNNAKI LA FAUTE?


L'électrocardiogramme donne plat et

il serait déraisonnable d'y trop penser.
Laissez vous manipuler et modifier à 
en construire des ralentisseurs après 
les ronds points.

Ne pas être dos au mur quand ils 
s'agitent de nous prendre pour contrôler nos barbotages vilains petits
connards de "Marduck" !
L'insistance lumineuse produit ses dérivés.
Déjouer les interrupteurs de "Nephilim"
en V.O !
"Elohim", je ne rentre pas en raisonnance et en dépit d'avoir eu vent
stellaire d'un possible retour, de moi
n'espérez aucune prosternation.

Anunnaki la faute?
Signs of the returning chaos from "Zaos"!

BI or not to be! Lobbies cachant sous nos pieds en zones meubles ce qui est de très cher et de sang. Dominants de la meute disséminez vos os bien à l'abrit des bâtards errants.
L'abondance prend des airs de trop plein !
Nous n'avons fait que nous mouvoir 
enchaînés à de faux espoirs en 
déambulateur.

Anunnaki la faute?
Signs of the returning chaos from 
"Zaos"!

Rutilente misogynie, la matrice Vénusienne du fond des âges changée 
en marche pied pour assoir l'embase 
de tout les assujettissements.
En "Enki", nous est il possible de croire que cette volonté vient "d'Anu"?
À moins que rien du simiesque à peine
un saut de puce d'où naissent tant de
variables en format et en longévité.
Le titanesque ne datant pas que "Dyer"!

Anunnaki la faute?
Signs of the returning chaos from
"Zaos"!

"Orion" nous droit à des "Pléiades" 
servies sur des plateaux lors de soirées
à thème de"Gizeh" au positionnement 
des astres annoncés alignés?
L'essence des cultures ne serait-elle qu'un habile maquillage?
Projets clés en main "conSumeriens".
Marqués et attendus aux tourments du grand sceau consumériste.
Varans sortis d'usine ou modèle "Ducaz" belligérants du "Shem" qui échafaudent bloc par bloc et à tout les 
niveaux de sacrificielles "Ziggurats".

Anunnaki la faute?
Signs of the returning chaos from
"Zaos"!